Tout sur ton cycle menstruel : savoir identifier ton jour d’ovulation

Tu souhaites avoir un enfant ? Pour maximiser tes chances de tomber enceinte, il est important que tu puisses identifier ton jour d’ovulation et les symptômes qui y sont associés.

L’ovulation, c’est quoi ?

L’ovulation correspond au moment où un ovaire libère un follicule de Graaf (cellule qui s’apparente à un sac et qui contient l’ovocyte). L’ovulation a lieu de la puberté à la ménopause. La gamète féminine suit ensuite les mouvements générés par la trompe de Fallope. Elle peut devenir un ovule à partir du moment où elle est pénétrée par un spermatozoïde. 

Il faut savoir que les spermatozoïdes fécondent l’ovocyte dans la trompe. L’œuf formé poursuit alors son trajet. Lorsqu’il arrive dans l’utérus, il peut s’implanter dans l’endomètre. Ce processus dure de 6 à 12 jours. L’ovulation est donc indispensable pour débuter une grossesse.

S’il n’y a pas eu de fécondation, l’ovule devient un corps jaune (une glande endocrine créée à partir de l’enveloppe vide de l’ovocyte). Il va se désagréger durant son parcours vers l’utérus. Le cycle se poursuit alors jusqu’au début de tes règles.

Comment savoir si on ovule ? Les signes et symptômes de l’ovulation

Chaque femme est unique aussi les symptômes de l’ovulation peuvent différer d’une femme à une autre. Aussi, il se peut que ces symptômes soient exacerbés ou, au contraire, totalement absents. Néanmoins, quelques signes peuvent t’aider à savoir si tu es en période d’ovulation. Ces manifestations apparaissent quelques jours avant et pendant l’ovulation.

Une température basale élevée

Prends ta température (de préférence avant de te lever) : en temps normal, la température corporelle est inférieure à 36,7°C. Juste avant l’ovulation, elle augmente de 0.3 à 0.6°C. Cette température basale reste élevée durant quelques jours puis redescend progressivement jusqu’au premier jour des règles. Ce signe de l’ovulation est relativement fiable mais nécessite que tu aies une hygiène de vie parfaite.

Une forte libido

Et oui ! Pendant cette période tu as envie de faire l’amour ! Mère nature est quand même bien faite, non ?

Des douleurs et des gênes au niveau du ventre

Il se peut que tu notes quelques douleurs pelviennes, des crampes abdominales ou une sensation de ballonnement. Ces manifestations sont diffuses et assez légères : elles n’ont rien à voir avec les douleurs menstruelles. Cette gêne s’expliquerait par l’expulsion par l’ovaire de l’œuf. C’est pourquoi, chez certaines femmes, un côté est plus douloureux qu’un autre : il correspond à l’ovaire qui a travaillé.

Des seins douloureux et tendus

Sous l’effet des hormones, tes seins peuvent être relativement sensibles et plus lourds.

Des leucorrhées liquides et claires

L’un des symptômes d’ovulation les plus courants et facilement identifiables sont des pertes blanches abondantes, visqueuses, claires et extensibles (elles ressemblent à du blanc d’œeuf). Ta culotte peut être mouillée. À ce moment de ton cycle, ces pertes vaginales aident les spermatozoïdes à atteindre l’ovocyte, prolongent leur espérance de vie et lubrifient ton vagin.

Un col d’utérus haut

Accroupie, insère deux doigts dans ton vagin. Si tu es en période ovulatoire, ton col doit être mou, droit, haut et ouvert. Lorsque cette phase est passée, le col redescend, se durcit et se referme.

Un spotting

Certaines femmes ont quelques pertes de sang durant l’ovulation. On appelle ça le spotting. Néanmoins ce symptôme est assez rare.

Quand puis-je tomber enceinte plus facilement ?

Il est important de calculer ton cycle pour savoir quand tu es susceptible d’ovuler. Comme je te l’expliquais dans un article consacré à la phase lutéale, la fenêtre de fertilité chez la femme est assez courte. Après son expulsion de l’ovaire, l’espérance de vie de l’ovule n’est que de 12 à 24 heures. À cela s’ajoute des facteurs extérieurs : à savoir l’espérance de vie des spermatozoïdes ; une fois dans l’utérus, ils survivent et restent fécondants entre 3 à 5 jours. Tes meilleures chances de débuter une grossesse se situent 4 jours avant l’ovulation et 24 après celle-ci.

Comment calculer son jour d’ovulation ?

On croit souvent à tort que le jour d’ovulation se situe pile au milieu du cycle menstruel. Cette croyance s’explique par le fait que le cycle “idéal” s’étend sur 28 jours. Un cycle de 28 jours comprend 14 jours de phase folliculaire, le jour d’ovulation et 14 jours de phase lutéale. Or, cette certitude est trompeuse car la durée de la phase lutéale ne change pas : elle reste de 14 jours (plus rarement 13 ou 15) quelle que soit la durée de ton cycle ! En réalité, seule la phase folliculaire varie : elle peut être plus ou moins longue d’une femme à une autre !

La méthode pour calculer son jour d’ovulation

Pour connaître son jour d’ovulation, il suffit de retirer 14 jours à partir de la date de tes règles.

Le jour d’ovulation d’un cycle court

Si ton cycle menstruel dure moins de 28 jours, on dit qu’il est court. Cela veut dire que ta phase folliculaire est inférieure à 14 jours et que l’ovulation intervient plus tôt. Par exemple, si ton cycle dure 24 jours, l’ovulation intervient au 10ème jour du cycle.

Connaître le jour d’ovulation d’un cycle long

Si ton cycle dure plus de 28 jours, il est alors considéré comme long : ta phase folliculaire est plus longue et l’ovulation arrive un peu plus tard. Par exemple, si ton cycle dure 35 jours, l’ovulation intervient au 21ème jour du cycle.

Comment connaître sa date d’ovulation en cas de cycles irréguliers ?

Comme tu peux t’en douter connaître son jour d’ovulation en cas de cycle irrégulier, si ce n’est impossible ! C’est pourquoi, pour maximiser tes chances de tomber enceinte et identifier ta période de fécondité, je te recommande d’utiliser des subterfuges : 

  • analyse ta glaire cervicale : elle doit être transparente, abondante et liquide.
  • analyse ta courbe de température au réveil (elle augmente de 0,3 à 0,6°C).
  • utilise des tests d’ovulation. À l’instar des tests de grossesse, ces tests sont assez fiables : ils détectent l’augmentation d’hormones présentes dans ton urine dans les 24 à 36 heures avant le jour de l’ovulation.
  • il suffit aussi que tu aies des rapports sexuels régulièrement (par exemple tous les 2 ou 3 jours). 
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Retour de couches : le retour des règles après l’accouchement

Le retour de couches correspond tout simplement à la réapparition des règles à la suite d’une grossesse. À quel moment survient-il ? Comment le reconnaître ? Combien de temps dure-t-il ? Ce sont autant de questions auxquelles je vais tenter de répondre !

Le retour de couches, c’est quoi ?

Le retour de couches c’est le retour de votre cycle menstruel à proprement parler après avoir accouché. Il convient de ne pas le confondre avec les lochies et le petit retour de couches. Je vous explique la différence entre ces trois types de saignements post-partum.

Les lochies

Les lochies sont des saignements survenant dès les premiers jours, voire les quelques heures, qui suivent la naissance. Ils interviennent souvent au moment de la sortie de la maternité.

Ces pertes de sang sont très abondantes pendant les trois premiers jours puis diminuent les jours suivants. Elles durent généralement une dizaine de jours à trois semaines. Les lochies peuvent être impressionnantes en raison de leur abondance et de la présence de caillots. 

Le petit retour de couches

Attention, le petit retour de couches ne doit pas être confondu avec les règles ! Certaines femmes ont de nouveaux saignements une douzaine de jours après l’accouchement et ce pendant environ 48 heures. Ces pertes de sang correspondent au processus naturel de cicatrisation de l’utérus.

 

Le vrai retour de couches : le reconnaître

Les premières règles qui suivent un accouchement sont généralement des règles douloureuses, plus longues et plus abondantes. 

Là encore, les tampons et les cups sont fortement déconseillés car votre vagin est encore trop fragile. C’est pourquoi, la culotte de règles ou post-partum est la meilleure alternative.

 

 

Elle offre une excellente absorption, est très confortable et ne présente pas de risque d’infection ou d’irritation.

 

Combien de temps dure le retour de couches ?

La durée du retour de couches est assez variable d’une femme à une autre. Néanmoins, on peut dire que votre cycle menstruel devrait réapparaître dans les 6 à 8 semaines suivant ton accouchement. Il peut aussi mettre jusqu’à trois mois après la naissance de bébé pour réapparaître. 

À l’inverse, si vous avez fait le choix de ne pas allaiter et que votre médecin ou gynécologue vous a prescrit un traitement pour stopper la montée de lait, votre retour de couches peut arriver dans le mois qui suit la naissance.

Ajoutons à cela que d’autres facteurs influent sur le retour de couche et sa durée comme votre mode de contraception ou encore l’allaitement.

Retour de couches : quelle durée avant de prendre une pilule œstroprogestative ?

À la suite de son accouchement la femme a plus de risque de faire une embolie pulmonaire, une phlébite ou une trompose, c’est pourquoi durant cette période il est obligatoire de ne pas utiliser une pilule contraceptive œstroprogestative.

Il faut attendre trois mois environ après la naissance pour que ce moyen de contraception soit de nouveau envisageable.

Le retour de couches d’une maman qui allaite

Si en tant que jeune maman vous avez fait le choix d’allaiter votre enfant, il est tout à fait normal que vos règles mettent davantage de temps à revenir. Il n’est pas rare que dans ce cas le retour des règles n’intervienne que dans les 5 à 6 mois suivant la naissance.

Peut-on tomber enceinte avant un retour de couches ?

En raison du grand chamboulement provoqué par les hormones dans votre corps, il est impossible de savoir à quel moment arrivera la première ovulation. Il est même tout à fait possible qu’une ovulation puisse survenir dans les jours et semaines suivant l’accouchement, c’est pourquoi vous pouvez tomber enceinte très rapidement

Si vous ne souhaitez pas avoir un autre enfant dans l’immédiat, il faut que dès votre sortie de maternité vous prenniez rendez-vous chez votre gynécologue ou votre sage-femme pour choisir un moyen de contraception adapté. 

L’allaitement n’est pas une contraception !

D’ailleurs, contrairement aux croyances largement répandues, le fait d’allaiter ne vous prémunit pas d’un risque de grossesse non désirée. Bien que la prolactine, l’hormone favorisant la production de lait, inhibe l’ovulation, vous n’êtes pas à l’abri que mère nature vous joue des tours ! Une ovulation anticipée peut se produire avant le sevrage de bébé, aussi dans ce cas prendre une pilule microprogestative sans œstrogènes pourra vous être conseillé car cette contraception n’est pas incompatible avec l’allaitement.

Préparer son retour de couche

Herloop est à vos côtés durant cette période !

Le post-partum est rarement une période évidente et agréable à vivre. À la fatigue et le stress accumulés en raison de l’arrivée de bébé s’ajoutent tous ces changements dont vous vous passeriez bien (chute de cheveux, baby blues voire dépression…). C’est pourquoi afin de vous accompagner au mieux durant ces mois, nous avons créé notre jolie culotte Roma. Cette culotte post-partum offre une absorption équivalente à 4 tampons et assure un bon maintien ! 

À ce propos, sachez que les gynécologues déconseillent le recours aux tampons pour les lochies et le petit retour de couches car ils favorisent le développement d’infections (surtout si vous avez eu une épisiotomie). Les cups aussi ne sont plus conseillées. Quant aux serviettes hygiéniques, elles ne sont pas non plus une bonne solution, surtout lorsqu’on sait ce qu’elles contiennent…

 

A quel moment consulter ?

Quand vous en ressentez le besoin ! L’après grossesse est rarement une période évidente tant les changements hormonaux, physiques et psychologiques sont nombreux. Si vous ne souhaitez pas d’enfant tout de suite, il est important que vous consultiez rapidement après la naissance afin que vous soit prescrit un moyen de contraception adapté à votre situation. 

Cette contraception pourra aussi vous aider à retrouver une vie sexuelle épanouie sans avoir peur de tomber enceinte. Néanmoins, il est aussi normal que les premiers temps, votre libido soit moins présente et que vous connaissiez des épisodes de sécheresse vaginale (il est alors recommandé d’utiliser un préservatif lubrifié ou un lubrifiant). Vous devez prendre votre temps et être à l’écoute de votre corps et de votre tête !

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Chute de cheveux après l’accouchement : que faire ?

À l’issue de leur grossesse, de nombreuses femmes constatent un phénomène dont elles se seraient bien passées : leurs cheveux tombent. S’il s’agit d’un symptôme très courant du post-partum, il est néanmoins encore trop peu évoqué -un peu comme la dépression post-natale-, au point qu’il puisse inquiéter les jeunes mamans ! 

Comme toujours la team Loop est là pour dédramatiser le sujet : perdre ses cheveux en quantité astronomique c’est pas cool, certes, mais ce n’est pas grave ! On t’explique pourquoi chute de cheveux et post-partum sont liés et on te donne nos solutions et remèdes pour limiter la casse et retrouver une chevelure de déesse !

Chute de cheveux et post-partum : quelle en est la cause ?

Le fait de perdre ses cheveux après une grossesse a un nom : l’alopécie post-partum, aussi appelée “effluvium télogène aigu” ! Derrière ces noms un peu barbares se cache un phénomène bien plus courant qu’on ne le croit et tout à fait normal. Il s’explique par les bouleversements hormonaux survenant dans le corps de la femme enceinte et ayant récemment accouché. 

Durant ta grossesse, tu auras sans doute remarqué que tes cheveux étaient plus beaux : ils poussaient plus vite, tombaient moins, étaient plus brillants, solides et disciplinés. D’ailleurs, certaines femmes constatent même que leur couleur de cheveux a légèrement changé durant cette période. Et là, c’est le drame… Tu les perds par poignées et ils sont devenus très secs ou, au contraire, très gras ! 

Les responsables de ces changements sont les œstrogènes ; durant la grossesse, les œstrogènes sont sécrétés en quantité, retardant la chute des cheveux et les rendant ainsi plus beaux (ils rendent aussi les pertes blanches plus épaisses et abondantes, et oui !), or à la suite de l’accouchement, se produit ce que l’on appelle la désimprégnation hormonale (une chute brutale du taux d’œstrogènes) : c’est pour cela que tes cheveux tombent ! C’est pourquoi, il faut voir cette chute de cheveux liée au post-partum comme une étape plutôt rassurante : elle est le signe que tout rentre à la normale !

Quand commence-t-elle et combien de temps dure-t-elle ?

Les jeunes mamans commencent généralement à perdre leurs cheveux trois mois après l’accouchement ou à la suite de l’arrêt de l’allaitement de leur enfant. Ce phénomène dure en moyenne trois mois. Néanmoins, on estime qu’il faut attendre environ un an après la grossesse pour que les choses rentrent complètement dans l’ordre.

Quelle quantité de cheveux vais-je perdre après ma grossesse ?

Selon les cas, la perte capillaire peut être plus ou moins importante. Certaines femmes perdent très peu de cheveux alors que d’autres les perdent par poignées au point que leur cuir chevelu devienne apparent par endroit.

Il faut aussi savoir que la saison à laquelle est prévu l’accouchement peut aussi jouer un rôle dans cette chute de cheveux : on a toutes déjà pu remarquer qu’en début de printemps et d’automne, on avait tendance à perdre davantage nos cheveux ; or, il semblerait, que les femmes qui accouchent durant ces mois perdent davantage de cheveux durant leur post-partum (le facteur de la saisonnalité s’ajoute à celui hormonal). 

À l’inverse, l’allaitement limiterait cette perte de cheveux, ou du moins, la retarderait, car la chute des hormones est moins abrupte. 

Quelles sont les solutions ?

S’il est pas possible d’éviter une chute de cheveux dûe au post-partum, il existe néanmoins des remèdes pour la limiter ou, du moins, la freiner.

Faire une cure de levure de bière

La levure de bière est réputée pour faire des miracles sur les cheveux et les ongles ! Elle permet d’accélérer efficacement la croissance du cheveux en favorisant la synthèse de la kératine. En plus, la levure de bière contribuerait à augmenter la lactation, ce qui est parfait si tu allaites ! Elle existe sous forme de poudre ou de gélules.

Dormir ! 

Le manque de sommeil et la fatigue peuvent augmenter le phénomène de perte de cheveux. Alors, même si on sait qu’avec bébé, c’est pas facile d’avoir des nuits reposantes, essaye tout de même d’avoir un rythme de vie sain et régulier.

Manger équilibré

Il est important de manger assez de légumes et de fruits frais pour avoir les bons apports en nutriments et en vitamines. 

Il faut aussi que tu fasses attention à tes apports en protéines, sources d’acides aminés soufrés, qui jouent un rôle dans la synthèse de la kératine et en fer. Les carences en fer sont néfastes pour les cheveux car le fer intervient dans la bonne oxygénation du bulbe capillaire et permet la synthèse de l’hémoglobine. 

Tu trouveras des protéines dans le jaune d’œuf, les oléagineux, les légumineuses, les viandes et les poissons. Pour ce qui est du fer, tourne-toi davantage vers les viandes rouges, le soja, les coquillages, le germe de blé ou encore le cacao.

Faire attention lors du coiffage

Tu l’auras compris durant cette période post-accouchement, tes cheveux sont sensibles et fragiles.

Aussi, il convient de ne pas les agresser davantage et d’en prendre encore plus soin :

  • utilise la fonction air froid de ton sèche-cheveux
  • brosse-les délicatement
  • évite les coiffures qui tirent sur le cuir chevelu
  • fais attention au shampoing que tu utilises : un shampoing inadapté risquerait de fragiliser encore plus tes cheveux 
  • lorsque tu es sous la douche prends le temps de masser ton cuir chevelu afin de favoriser la repousse.

Les compléments alimentaires pour booster la pousse des cheveux

Les vitamines du groupe B sont particulièrement indiquées en cas de perte de cheveux : 

  • la vitamine B3 booste la pousse, 
  • la B5 contribue à augmenter la densité capillaire, 
  • la B6 est reconnue pour renforcer la fibre capillaire, 
  • sans oublier la fameuse B8 (la biotine) qui permet d’éviter les cheveux ternes, favorise la repousse des cheveux et limite leur perte.

Tu peux aussi te supplémenter en fer, en sélénium et en zinc. Tu trouveras des gélules ou des comprimés combinant ces différentes vitamines. Néanmoins, fais attention car certains de ces compléments sont déconseillés aux femmes allaitantes. En cas de doute, n’hésite-pas à demander conseil à un professionnel de santé.

Les plantes peuvent aussi aider

Certaines huiles essentielles sont reconnues pour leur vertus réparatrices et régénérantes ; c’est le cas des essences de Bay St Thomas, du cèdre de l’Atlas, de Pamplemousse ou de la sauge sclarée. Sache toutefois que les huiles essentielles sont déconseillées aux femmes allaitantes.

À quel moment faut-il consulter ?

Si tu constates que ces pertes de cheveux durent plus de 6 mois, il peut être bon de demander l’avis d’un spécialiste. En effet, il est possible que cette chute capillaire soit la manifestation d’un autre problème comme un trouble thyroïdien. Un traitement adapté te sera alors proposé.

Le mot de la fin : Loop est là pour t’accompagner durant tes règles bien sûr, mais aussi, un petit peu chaque jour et notamment durant ton post-partum ! C’est pour cela que nous avons eu l’idée de concevoir Roma, notre culotte post-partum, qui t’accompagne dès ta sortie de la maternité. Avec Loop, sois bien dans ton corps et dans ta tête !