Retour de couches : le retour des règles après l’accouchement

Le retour de couches correspond tout simplement à la réapparition des règles à la suite d’une grossesse. À quel moment survient-il ? Comment le reconnaître ? Combien de temps dure-t-il ? Ce sont autant de questions auxquelles je vais tenter de répondre !

Le retour de couches, c’est quoi ?

Le retour de couches c’est le retour de votre cycle menstruel à proprement parler après avoir accouché. Il convient de ne pas le confondre avec les lochies et le petit retour de couches. Je vous explique la différence entre ces trois types de saignements post-partum.

Les lochies

Les lochies sont des saignements survenant dès les premiers jours, voire les quelques heures, qui suivent la naissance. Ils interviennent souvent au moment de la sortie de la maternité.

Ces pertes de sang sont très abondantes pendant les trois premiers jours puis diminuent les jours suivants. Elles durent généralement une dizaine de jours à trois semaines. Les lochies peuvent être impressionnantes en raison de leur abondance et de la présence de caillots. 

Le petit retour de couches

Attention, le petit retour de couches ne doit pas être confondu avec les règles ! Certaines femmes ont de nouveaux saignements une douzaine de jours après l’accouchement et ce pendant environ 48 heures. Ces pertes de sang correspondent au processus naturel de cicatrisation de l’utérus.

 

Le vrai retour de couches : le reconnaître

Les premières règles qui suivent un accouchement sont généralement des règles douloureuses, plus longues et plus abondantes. 

Là encore, les tampons et les cups sont fortement déconseillés car votre vagin est encore trop fragile. C’est pourquoi, la culotte de règles ou post-partum est la meilleure alternative.

 

 

Elle offre une excellente absorption, est très confortable et ne présente pas de risque d’infection ou d’irritation.

 

Combien de temps dure le retour de couches ?

La durée du retour de couches est assez variable d’une femme à une autre. Néanmoins, on peut dire que votre cycle menstruel devrait réapparaître dans les 6 à 8 semaines suivant ton accouchement. Il peut aussi mettre jusqu’à trois mois après la naissance de bébé pour réapparaître. 

À l’inverse, si vous avez fait le choix de ne pas allaiter et que votre médecin ou gynécologue vous a prescrit un traitement pour stopper la montée de lait, votre retour de couches peut arriver dans le mois qui suit la naissance.

Ajoutons à cela que d’autres facteurs influent sur le retour de couche et sa durée comme votre mode de contraception ou encore l’allaitement.

Retour de couches : quelle durée avant de prendre une pilule œstroprogestative ?

À la suite de son accouchement la femme a plus de risque de faire une embolie pulmonaire, une phlébite ou une trompose, c’est pourquoi durant cette période il est obligatoire de ne pas utiliser une pilule contraceptive œstroprogestative.

Il faut attendre trois mois environ après la naissance pour que ce moyen de contraception soit de nouveau envisageable.

Le retour de couches d’une maman qui allaite

Si en tant que jeune maman vous avez fait le choix d’allaiter votre enfant, il est tout à fait normal que vos règles mettent davantage de temps à revenir. Il n’est pas rare que dans ce cas le retour des règles n’intervienne que dans les 5 à 6 mois suivant la naissance.

Peut-on tomber enceinte avant un retour de couches ?

En raison du grand chamboulement provoqué par les hormones dans votre corps, il est impossible de savoir à quel moment arrivera la première ovulation. Il est même tout à fait possible qu’une ovulation puisse survenir dans les jours et semaines suivant l’accouchement, c’est pourquoi vous pouvez tomber enceinte très rapidement

Si vous ne souhaitez pas avoir un autre enfant dans l’immédiat, il faut que dès votre sortie de maternité vous prenniez rendez-vous chez votre gynécologue ou votre sage-femme pour choisir un moyen de contraception adapté. 

L’allaitement n’est pas une contraception !

D’ailleurs, contrairement aux croyances largement répandues, le fait d’allaiter ne vous prémunit pas d’un risque de grossesse non désirée. Bien que la prolactine, l’hormone favorisant la production de lait, inhibe l’ovulation, vous n’êtes pas à l’abri que mère nature vous joue des tours ! Une ovulation anticipée peut se produire avant le sevrage de bébé, aussi dans ce cas prendre une pilule microprogestative sans œstrogènes pourra vous être conseillé car cette contraception n’est pas incompatible avec l’allaitement.

Préparer son retour de couche

Herloop est à vos côtés durant cette période !

Le post-partum est rarement une période évidente et agréable à vivre. À la fatigue et le stress accumulés en raison de l’arrivée de bébé s’ajoutent tous ces changements dont vous vous passeriez bien (chute de cheveux, baby blues voire dépression…). C’est pourquoi afin de vous accompagner au mieux durant ces mois, nous avons créé notre jolie culotte Roma. Cette culotte post-partum offre une absorption équivalente à 4 tampons et assure un bon maintien ! 

À ce propos, sachez que les gynécologues déconseillent le recours aux tampons pour les lochies et le petit retour de couches car ils favorisent le développement d’infections (surtout si vous avez eu une épisiotomie). Les cups aussi ne sont plus conseillées. Quant aux serviettes hygiéniques, elles ne sont pas non plus une bonne solution, surtout lorsqu’on sait ce qu’elles contiennent…

 

A quel moment consulter ?

Quand vous en ressentez le besoin ! L’après grossesse est rarement une période évidente tant les changements hormonaux, physiques et psychologiques sont nombreux. Si vous ne souhaitez pas d’enfant tout de suite, il est important que vous consultiez rapidement après la naissance afin que vous soit prescrit un moyen de contraception adapté à votre situation. 

Cette contraception pourra aussi vous aider à retrouver une vie sexuelle épanouie sans avoir peur de tomber enceinte. Néanmoins, il est aussi normal que les premiers temps, votre libido soit moins présente et que vous connaissiez des épisodes de sécheresse vaginale (il est alors recommandé d’utiliser un préservatif lubrifié ou un lubrifiant). Vous devez prendre votre temps et être à l’écoute de votre corps et de votre tête !

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Chute de cheveux après l’accouchement : que faire ?

À l’issue de leur grossesse, de nombreuses femmes constatent un phénomène dont elles se seraient bien passées : leurs cheveux tombent. S’il s’agit d’un symptôme très courant du post-partum, il est néanmoins encore trop peu évoqué -un peu comme la dépression post-natale-, au point qu’il puisse inquiéter les jeunes mamans ! 

Comme toujours la team Loop est là pour dédramatiser le sujet : perdre ses cheveux en quantité astronomique c’est pas cool, certes, mais ce n’est pas grave ! On t’explique pourquoi chute de cheveux et post-partum sont liés et on te donne nos solutions et remèdes pour limiter la casse et retrouver une chevelure de déesse !

Chute de cheveux et post-partum : quelle en est la cause ?

Le fait de perdre ses cheveux après une grossesse a un nom : l’alopécie post-partum, aussi appelée “effluvium télogène aigu” ! Derrière ces noms un peu barbares se cache un phénomène bien plus courant qu’on ne le croit et tout à fait normal. Il s’explique par les bouleversements hormonaux survenant dans le corps de la femme enceinte et ayant récemment accouché. 

Durant ta grossesse, tu auras sans doute remarqué que tes cheveux étaient plus beaux : ils poussaient plus vite, tombaient moins, étaient plus brillants, solides et disciplinés. D’ailleurs, certaines femmes constatent même que leur couleur de cheveux a légèrement changé durant cette période. Et là, c’est le drame… Tu les perds par poignées et ils sont devenus très secs ou, au contraire, très gras ! 

Les responsables de ces changements sont les œstrogènes ; durant la grossesse, les œstrogènes sont sécrétés en quantité, retardant la chute des cheveux et les rendant ainsi plus beaux (ils rendent aussi les pertes blanches plus épaisses et abondantes, et oui !), or à la suite de l’accouchement, se produit ce que l’on appelle la désimprégnation hormonale (une chute brutale du taux d’œstrogènes) : c’est pour cela que tes cheveux tombent ! C’est pourquoi, il faut voir cette chute de cheveux liée au post-partum comme une étape plutôt rassurante : elle est le signe que tout rentre à la normale !

Quand commence-t-elle et combien de temps dure-t-elle ?

Les jeunes mamans commencent généralement à perdre leurs cheveux trois mois après l’accouchement ou à la suite de l’arrêt de l’allaitement de leur enfant. Ce phénomène dure en moyenne trois mois. Néanmoins, on estime qu’il faut attendre environ un an après la grossesse pour que les choses rentrent complètement dans l’ordre.

Quelle quantité de cheveux vais-je perdre après ma grossesse ?

Selon les cas, la perte capillaire peut être plus ou moins importante. Certaines femmes perdent très peu de cheveux alors que d’autres les perdent par poignées au point que leur cuir chevelu devienne apparent par endroit.

Il faut aussi savoir que la saison à laquelle est prévu l’accouchement peut aussi jouer un rôle dans cette chute de cheveux : on a toutes déjà pu remarquer qu’en début de printemps et d’automne, on avait tendance à perdre davantage nos cheveux ; or, il semblerait, que les femmes qui accouchent durant ces mois perdent davantage de cheveux durant leur post-partum (le facteur de la saisonnalité s’ajoute à celui hormonal). 

À l’inverse, l’allaitement limiterait cette perte de cheveux, ou du moins, la retarderait, car la chute des hormones est moins abrupte. 

Quelles sont les solutions ?

S’il est pas possible d’éviter une chute de cheveux dûe au post-partum, il existe néanmoins des remèdes pour la limiter ou, du moins, la freiner.

Faire une cure de levure de bière

La levure de bière est réputée pour faire des miracles sur les cheveux et les ongles ! Elle permet d’accélérer efficacement la croissance du cheveux en favorisant la synthèse de la kératine. En plus, la levure de bière contribuerait à augmenter la lactation, ce qui est parfait si tu allaites ! Elle existe sous forme de poudre ou de gélules.

Dormir ! 

Le manque de sommeil et la fatigue peuvent augmenter le phénomène de perte de cheveux. Alors, même si on sait qu’avec bébé, c’est pas facile d’avoir des nuits reposantes, essaye tout de même d’avoir un rythme de vie sain et régulier.

Manger équilibré

Il est important de manger assez de légumes et de fruits frais pour avoir les bons apports en nutriments et en vitamines. 

Il faut aussi que tu fasses attention à tes apports en protéines, sources d’acides aminés soufrés, qui jouent un rôle dans la synthèse de la kératine et en fer. Les carences en fer sont néfastes pour les cheveux car le fer intervient dans la bonne oxygénation du bulbe capillaire et permet la synthèse de l’hémoglobine. 

Tu trouveras des protéines dans le jaune d’œuf, les oléagineux, les légumineuses, les viandes et les poissons. Pour ce qui est du fer, tourne-toi davantage vers les viandes rouges, le soja, les coquillages, le germe de blé ou encore le cacao.

Faire attention lors du coiffage

Tu l’auras compris durant cette période post-accouchement, tes cheveux sont sensibles et fragiles.

Aussi, il convient de ne pas les agresser davantage et d’en prendre encore plus soin :

  • utilise la fonction air froid de ton sèche-cheveux
  • brosse-les délicatement
  • évite les coiffures qui tirent sur le cuir chevelu
  • fais attention au shampoing que tu utilises : un shampoing inadapté risquerait de fragiliser encore plus tes cheveux 
  • lorsque tu es sous la douche prends le temps de masser ton cuir chevelu afin de favoriser la repousse.

Les compléments alimentaires pour booster la pousse des cheveux

Les vitamines du groupe B sont particulièrement indiquées en cas de perte de cheveux : 

  • la vitamine B3 booste la pousse, 
  • la B5 contribue à augmenter la densité capillaire, 
  • la B6 est reconnue pour renforcer la fibre capillaire, 
  • sans oublier la fameuse B8 (la biotine) qui permet d’éviter les cheveux ternes, favorise la repousse des cheveux et limite leur perte.

Tu peux aussi te supplémenter en fer, en sélénium et en zinc. Tu trouveras des gélules ou des comprimés combinant ces différentes vitamines. Néanmoins, fais attention car certains de ces compléments sont déconseillés aux femmes allaitantes. En cas de doute, n’hésite-pas à demander conseil à un professionnel de santé.

Les plantes peuvent aussi aider

Certaines huiles essentielles sont reconnues pour leur vertus réparatrices et régénérantes ; c’est le cas des essences de Bay St Thomas, du cèdre de l’Atlas, de Pamplemousse ou de la sauge sclarée. Sache toutefois que les huiles essentielles sont déconseillées aux femmes allaitantes.

À quel moment faut-il consulter ?

Si tu constates que ces pertes de cheveux durent plus de 6 mois, il peut être bon de demander l’avis d’un spécialiste. En effet, il est possible que cette chute capillaire soit la manifestation d’un autre problème comme un trouble thyroïdien. Un traitement adapté te sera alors proposé.

Le mot de la fin : Loop est là pour t’accompagner durant tes règles bien sûr, mais aussi, un petit peu chaque jour et notamment durant ton post-partum ! C’est pour cela que nous avons eu l’idée de concevoir Roma, notre culotte post-partum, qui t’accompagne dès ta sortie de la maternité. Avec Loop, sois bien dans ton corps et dans ta tête !

Les règles anniversaires : Help ! Je suis enceinte et j’ai mes règles.

Avoir ses règles en étant enceinte c’est possible ? La réponse est oui… et non ! Dans cet article, on vous donne un peu plus d’infos sur ce qu’on appelle les “Règles anniversaires” et pourquoi on perd du sang alors qu’on est enceinte. Ready ?

Note que si vous avez le moindre doute sur un saignement quelconque lié à votre grossesse ou à votre cycle, n’hésitez surtout pas à en parler à votre médecin, gynécologue ou sage-femme. 

Les saignements : l’angoisse quand on est enceinte

Les saignements font partie des plus grandes angoisses des futures mamans. Ils peuvent être associés à de nombreuses causes et on ne sait jamais quand on doit s’inquiéter ou non, surtout lorsque c’est notre première grossesse. Alors dès qu’on perd du sang, c’est l’angoisse de la fausse couche… 

Citation. Quand je suis tombée enceinte, ma première fois que j'ai refais l'amour avec mon conjoint,

Mais il faut savoir qu’une femme sur quatre est concernée par des saignements au cours du premier trimestre de sa grossesse. Et ces saignements ne sont pas forcément mauvais signe.

Les règles anniversaires, c’est quoi au juste ? 

Eh non ce n’est pas l’anniversaire de vos règles… Même si on aimerait bien manger du gâteau tous les mois youhou !

Non, les règles anniversaires sont liées à la grossesse 😁. Si vous êtes enceinte, il se peut que vous perdiez du sang à la date ou arrivent habituellement vos règles… C’est pourquoi on parle d’anniversaire (date = anniversaire… vous compris un peu le truc ?)

Bref, maintenant que l’explication étymologique est éclaircie, la question est : “Mais comment est-ce possible ?”
La première chose qu’on nous apprend à l’école, les règles s’arrêtent au moment où l’on tombe enceinte, non ? Alors qu’est ce qui se passe dans mon ventre ?  

Rassurez-vous, vous avez bien retenu les leçons de bio 🙌. Le sang que l’on perd le premier jour où on est censée avoir nos menstruations n’est pas du sang de règle. Il n’est pas destiné à expulser la muqueuse utérine contrairement au sang des règles. 

Ce phénomène appelé métrorragies, ne s’explique pas toujours mais il faut savoir qu’il ne remet ni en question le développement de l’embryon, ni la santé ton utérus. Les métrorragies sont très souvent associées à la nidation de l’embryon (ou ce qu’on appelle aussi hémorragies d’implantation). L’embryon se fixe alors à la paroi de l’utérus et libère alors un peu de sang.

Quand arrivent les règles anniversaires ?

Même si les règles anniversaire comme sont nom l’indique, sont théoriquement censées survenir au moment des règles, ce n’est pas toujours vrai. Il arrive plus souvent que les saignements surviennent pendant les deux voire trois premiers mois de la grossesse. Ce n’est pas une science exacte !

La différence entre règles anniversaires et règles normales ?

Il est possible de faire la distinction entre règles anniversaires (fausses règles) et vraies règles. Voici quelques indications pour reconnaître les métrorragies :

  • les règles anniversaires ne sont pas douloureuses (elles peuvent néanmoins être accompagnées de nausées ou de vomissements liés à la grossesse) ;
  • elles sont de couleur rose clair ou marron (pas rouge vif) ;
  • elles durent moins longtemps que les règles normales ;
  • elles arrivent souvent une dizaine de jours après fécondation (ou à la date prévue de tes règles habituelles) ;

Est ce que les règles anniversaires sont abondantes ?

Il peut arriver que les règles anniversaires soient abondantes oui, ce n’est pas pour autant qu’il faut s’en inquiéter. Cependant, il faut vérifier que le sang ne soit pas rouge vif et que l’écoulement ne dure pas plus de deux jours.

Attention, comme toujours si vous sentez que cela est nécessaire, n’hésitez surtout pas à en parler à votre médecin ou gynécologue.

Combien de temps durent les règles anniversaires ? 

 Les règles anniversaires durent très peu de temps (un à deux jours en moyenne) contrairement aux menstruations. D’ailleurs certaines femmes ont recours à la culotte menstruelle pendant cette courte durée.
Comme elles arrivent au moment des règles habituelles, il est facile de les prévoir 😉

J'ai cru que c'était mes règles mais j'étais enceinte

Ne pas se fier qu’aux règles pour savoir si l’on est enceinte 

Avec ces pertes de sang qui ressemblent aux règles et qui arrivent en plus le jour des règles habituelles, pas franchement facile de s’y retrouver ! Heureusement, il y a plusieurs autres façons de savoir si l’on est enceinte ou pas 🙂

Enceinte ou pas enceinte, avec les règles anniversaires comment savoir ? 

Savoir reconnaître les symptômes de la grossesse 

Certains symptômes sont spécifiques à la grossesse. Rappelez-vous, on avait listé les symptômes dans l’un de nos articles pour différencier la grossesse du SPM.

On y retrouve notamment les symptômes fréquents liés à la grossesse telles que les nausées matinales, l’odorat exacerbé ou le grossissement des seins.

Le test de grossesse urinaire

Si vous avez un doute, vous pouvez vous procurer un test de grossesse en pharmacie. Ces tests se basent sur le taux d’hormones HCG dans tes urines. Attention à ne pas le faire trop tôt ! Il est à faire 19 jours après avoir fait l’amour sans protection. Au bout du 8ème jour, on peut détecter à très faible taux l’hormone de grossesse (bêta-HCG) dans les urines. Mais le taux est si faible qu’il faudra attendre au moins 3 semaines pour en avoir la certitude.

Le test urinaire n’est pas fiable a 100% il donne simplement une idée de la situation et il n’est pas obligatoire. 

Le test sanguin

Rien ne vaut le test sanguin pour avoir la confirmation que vous attendez un bébé. D’autant plus qu’il vous faudra obligatoirement passer par là pour toute la partie administrative qui viendra ensuite si vous attendez un enfant.

Règles anniversaires et test négatif, c’est possible !

Comme les tests urinaires ne sont pas à 100% fiables, il est possible d’avoir ses règles anniversaires et un test de grossesse négatif. C’est pourquoi il est important de faire un test sanguin pour vérifier s’il y a eu fécondation ou non.

Pertes de sang pendant la grossesse : pas toujours dues aux règles anniversaires 

Les règles anniversaires ne sont pas les seuls saignements que vous pouvez rencontrer au cours de la grossesse. En effet, votre utérus est fragilisé et il peut être un peu enflammé… 

Le spotting (les taches de sang) peut donc être lié à des facteurs tout à fait normaux comme :

  • un rapport sexuel ;
  • un toucher vaginal lors d’une visite gynécologique ;
  • le bouleversement hormonal de la grossesse ; 

Vous voyez, il y a de nombreux facteurs qui peuvent faire qu’on perd du sang alors qu’on est enceinte et ce n’est pas toujours une mauvaise nouvelle 😊. Cependant, si ces saignements sont accompagnés de douleurs au ventre ou si le sang est de couleur noirâtre, il vaut mieux vous rapprocher de votre médecin, votre gynécologue ou de votre sage-femme pour effectuer un contrôle.

Règles et nausées : le déni de grossesse ça peut arriver

Les règles anniversaires ne provoquent pas de nausées ou de vomissement. C’est la gestation qui les provoque. Aussi, si vous avez encore vos règles mais que vous ressentez des symptômes semblables à ceux d’une grossesse, il ne faudra pas hésiter à faire un test.

Il arrive qu’on ne soit pas prête mentalement à concevoir un enfant et que le cycle menstruel continue sa route pour faire croire au corps que rien n’a changé… 

Fausse couche ou règles anniversaires : comment faire la différence ? 

Dans tous les cas, si vous êtes enceinte et que vous sentez que vous saignez anormalement, mieux vaut consulter votre gynécologue ou médecin.

Si vous saignez abondamment ou que votre sang est rouge vif (un peu comme les menstruations), contactez votre médecin ou dirigez vous vers les urgences afin de ne prendre aucun risque et vérifier que tout aille bien.

Voilà vous savez tout sur les règles anniversaires, ce nom qui paraissait si étrange au début de cet article 😉. Vous avez donc pu constater qu’il arrive de saigner même quand on attend un enfant et même quand on a plus ses règles ! 

Une sélection de culottes menstruelles pour prévenir les saignements inattendus :

Tout savoir sur les pertes blanches

Ces sécrétions blanches que tu voies chaque mois dans ta culotte sont tout à fait normales. D’ailleurs, tu as sans doute remarqué qu’elles ne sont pas toujours pareilles. En effet, au cours du cycle menstruel, les sécrétions vaginales changent légèrement de couleur, de volume ou encore de consistance.

C’est pourquoi chez Herloop, nous te conseillons de t’y intéresser de plus près car les pertes blanches te donnent de bons indices quant à la santé de ton corps ! Certaines nuances, odeurs et apparences différentes de celles habituelles pourraient même être un moyen de t’avertir que quelque chose ne va pas. 

 

Qu’est-ce qui est normal ? Qu’est-ce qui ne l’est pas ? Comment sont les pertes avant les règles ?, etc… C’est parti pour notre focus sur les pertes blanches !

 

Les pertes blanches, c’est quoi et pourquoi apparaissent-elles ?

Les pertes blanches (aussi appelées leucorrhées) ne sont rien de plus que des sécrétions vaginales principalement composées de glaire cervicale. Si ces pertes blanches avant les règles deviennent plus perceptibles, elles sont toutefois présentes tout au long du cycle.

Mais pourquoi apparaissent-elles ? Elles sont sécrétées par ton corps parce que ton vagin a besoin d’être humide et lubrifié pour rester en bonne santé. En fait, ces sécrétions agissent comme une barrière contre les bactéries, les germes et la saleté. Elles ont aussi pour but d’équilibrer le pH vaginal pour éviter les mycoses et les infections.

L’info à noter :

Certaines sécrétions peuvent indiquer que tu peux souffrir d’une infection vaginale. Généralement, elles sont accompagnées d’autres symptômes comme des brûlures urinaires, des démangeaisons de la zone intime ou une mauvaise odeur. Consulte au plus vite ton ou ta gynécologue !

À retenir :

Tes pertes sont-elles presque transparentes, extensibles et visqueuses ? Dans ce cas, pas de souci à te faire ! Elles te font simplement savoir qu’il s’agit de la période fertile de ton cycle menstruel. 

>>> Pour en savoir plus, rendez-vous sur nos articles “Toutes tes questions sur la durée du cycle menstruel” et “Pourquoi calculer ton cycle menstruel peut te faciliter la vie ?”.

Le nuancier des pertes vaginales

Tout comme nos règles, au cours de notre cycle menstruel, nos pertes blanches changent de couleurs et de texture. Et comme à chaque fois, les responsables de ces changements sont nos hormones.

  • Pertes blanches, légères et laiteuses : Elles sont normales en début de cycle menstruel. Cette sécrétion a une fonction importante : elle maintient le pH vaginal et prépare l’environnement de l’utérus à l’ovulation.
  • Pertes claires, visqueuses et extensibles : il s’agit d’un signe de fertilité que la nature t’a donné. Elles sont généralement plus aqueuses et abondantes que d’habitude, elles aident également les spermatozoïdes à atteindre l’ovule tout en lubrifiant le canal vaginal.
  • Pertes blanchâtres et épaisses : elles apparaissent quant à elle après l’ovulation. Elles permettent de garder ton vagin propre et sans saleté. Elles durent généralement 11 à 14 jours et peuvent aussi apparaître pendant la grossesse.
  • Pertes troubles et jaunâtres : il s’agit le plus souvent des pertes blanches avant tes règles. Elles peuvent être de couleur crème à jaunâtre.
  • Pertes brunes ou troubles : après tes règles, ton vagin est généralement plus sec pendant quelques jours. Parfois, tu pourras constater l’apparition de sécrétions brunes ou légèrement troubles. Là encore, il n’y a pas de souci : cette couleur signifie que ton corps évacue les restes de tes règles.

La petite info Herloop :

Saviez-vous que… les sécrétions ont cette couleur blanchâtre à cause de la progestérone ? De plus, même si cela à de quoi surprendre : pendant les jours fertiles, les sécrétions peuvent être jusqu’à 30 fois plus abondantes qu’à l’habituel.

 

À quel moment les pertes vaginales sont-elles anormales ?

Certaines sortes de sécrétions vaginales peuvent indiquer que quelque chose ne va pas :

  • Par exemple, si l’écoulement devient épais, blanc et grumeleux et que tu ressens également des démangeaisons au niveau de zone vaginale, il se peut s’agir d’une infection à mycoses, comme la candidose.
  • Une forte odeur nauséabonde (que certaines femmes comparent à celle du poisson) peut aussi apparaître en cas de vaginose. Il s’agit d’une inflammation bactérienne qui se produit en raison d’un déséquilibre du pH vaginal.

Notre conseil ? Garde l’œil sur les changements de les sécrétions et consulte ton gynécologue ou ton médecin si tu remarques que :

  • Ton vagin dégage une odeur désagréable et importante.
  • Tes pertes vaginales sont si épaisses et grumeleuses qu’elles ressemblent à du fromage blanc.
  • Tes sécrétions présentent une couleur anormale (jaune intense, verdâtre ou grisâtre).
  • Tu ressens une sensation de brûlure ou de douleur lors de la miction et une gêne pendant les rapports sexuels.
  • La consistance de l’écoulement est trop aqueuse et présente de la mousse en surface.

Notre conseil : 

L’écosystème de ton vagin est extrêmement délicat. C’est pourquoi il n’est pas recommandé d’utiliser des produits d’hygiène féminine parfumés. De plus, durant tes règles, utilise nos culottes menstruelles Herloop car avec leur matière respectueuse de ton corps, elles permettent de maintenir le pH de ta zone intime sain et équilibré.

Pertes blanches : comment éviter la survenue de changements anormaux ?

 

La vaginose bactérienne, la candidose (entre autres infections et maladies vaginales) et les pertes anormales qui en résultent peuvent être évitées en suivant quelques recommandations :

  • Utilise un savon sans parfum et au pH neutre pour laver ton intimité. 
  • Évite les douches vaginales. La nature a bien fait les choses : ton vagin de son propre système de nettoyage aussi si ton médecin ne les a pas prescrits, n’en achète pas !
  • De manière générale, évite d’utiliser des produits parfumés. Les protège-slips parfumés peuvent déséquilibrer votre pH vaginal et entraîner une prolifération fongique.
  • Mange des yaourts ! Des recherches indiquent que le yaourt, grâce à la quantité de probiotiques qu’il contient, contribue à préserver l’écosystème vaginal.
  • En utilisant nos culottes Herloop :

Un dernier conseil ? Si tu remarques un quelconque changement, n’attends pas et prends rendez-vous avec un gynécologue ! 75 % des femmes souffrent d’une ou de plusieurs infections vaginales au cours de leur vie : il n’y a aucune honte à avoir !

Le téton douloureux : un symptôme du SPM

Avoir des seins gonflés et les tétons douloureux au toucher est l’un des symptômes les plus fréquents du syndrome prémenstruel. Mais comment explique-t-on cette hypersensibilité ? Comment peut-on la soulager ? Et à quel moment faut-il consulter ? Ce sont toutes les questions auxquelles tes copines de Herloop vont tenter de te donner une réponse ! 

Pourquoi a-t-on des seins douloureux avant les règles ?

Le SPM ! Encore lui ! Eh oui, l’un des symptômes prémenstruels le plus courant est le mal aux seins ou, du moins, leur sensibilité avant et/ou pendant les règles. De nombreuses femmes constatent chaque mois que leurs tétons sont gonflés et douloureux, que leur seins prennent du volume et qu’ils deviennent inconfortables à l’approche de leurs menstruations. Ce phénomème est très variable d’une femme à une autre : il peut concernant un sein ou les deux, durer plusieurs jours ou seulement quelques heures.

De la petite gêne sans gravité à des douleurs plus importantes pouvant empêcher de dormir correctement ou de porter un soutien-gorge, pourquoi a-t-on mal au sein à cette période du cycle menstruel ? Quel est le lien entre règles et seins douloureux ?

Les premières en cause : nos hormones !

Comme toujours lorsqu’il est question de SPM, celles qui sont responsables de ces désagréments ce sont nos hormones, et en particulier, les œstrogènes et la progestérone. En effet, au cours du cycle menstruel, les canaux mammaires s’élargissent en raison de la production d’une grande quantité d’œstrogènes. Or, cette sécrétion atteint son paroxysme au milieu du cycle (vers le 14e jour, au moment de l’ovulation). 

Dans le même temps, ton corps sécrète des progestérones. Pour elles, le maximum est atteint un peu plus tardivement (en moyenne autour du 21e jour). Les progestérones entraînent souvent une croissance des glandes mammaires. 

Et, vous l’aurez compris, c’est la conjugaison des deux qui provoque cette douleur au téton et au sein ! Aussi, pour vous aider à y voir plus clair, chez Herloop, nous vous proposons de calculer ton cycle menstruel, comme ça vous saurez où vous en êtes !

Les autres facteurs pouvant expliquer ces douleurs au téton

Pour compliquer la chose, il faut aussi que vous sachiez que d’autres éléments peuvent entrer en ligne de compte et provoquer cette douleur au sein avant les règles, du moins l’amplifier. Parmi ces causes annexes, on peut citer pêle-mêle tes antécédents familiaux mais aussi l’absorption de certains aliments comme le café ou encore de plats riches en protéines, en gras ou en sel.

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Comment atténuer cette douleur à la poitrine avant les règles ?

Afin de vivre au mieux au quotidien, il existe quelques astuces pour avoir moins mal aux tétons avant les règles.

Faites attention à ce que vous mangez !

On ne vous l’apprendra sûrement pas mais l’alimentation est primordiale pour ta santé ! Aussi, nous vous conseillons de faire attention à ce que vous mangez, et plus particulièrement durant les jours précédant tes règles et au moment de celles-ci. Par exemple, consomme des aliments riches en vitamines E et B6 car elles permettent de réduire les douleurs menstruelles. Vous trouverez la vitamine E notamment dans les amandes, les noisettes, les cacahuètes, le germe de blé, mais aussi les huiles de noix, de colza ou d’olive. La banane, les champignons shiitake et les graines de sésame sont quand eux riches en B6. Pour vous aidez, vous pouvez aussi prendre des compléments alimentaires. 

Par ailleurs, durant cette période il peut être bon de consommer des aliments contenant du soja. En effet, le soja dispose de nombreuses vertus parmi lesquelles celles de réduire les fluctuations hormonales. À l’inverse, il convient d’éviter les aliments riches en gras ou en sel car ils favorisent la rétention d’eau ; or, cette dernière peut être liée à la douleur aux seins que vous pouvez ressentir.

Oublie la caféine

Là aussi, il s’agit d’un grand classique ! Pour limiter la douleur, il est préférable de ne pas boire de café ! La caféine a pour caractéristique de resserrer les vaisseaux sanguins, ce qui peut contribuer à décupler certains effets du SPM…. Donc pour avoir moins mal aux seins, il vaut mieux s’en passer.

Ne porte pas de soutien-gorge

Le plus simple pour limiter l’inconfort lié à cette période est de ne pas porter de soutien-gorge. Les adeptes du “no bra” te le diront ! Mais si vous n’êtes pas à l’aise sans soutien-gorge, nous te recommandons de préférer une brassière. Ce type de sous-vêtement a l’avantage de maintenir correctement la poitrine sans pour autant la compresser.

Hydratez et massez vos seins 

Pour limiter cette gêne voire ces douleurs, vous pouvez aussi masser doucement tes seins. En effectuant régulièrement des massages sur ta poitrine, vous aidez à améliorer la circulation lymphatique et sanguine. Vous pouvez, par exemple, le faire pendant que vous vous douchez.

Pour encore plus d’efficacité, vous pouvez même effectuer ces massages avec de l’huile de coco, d’amande ou d’onagre. Pourquoi l’huile d’onagre en particulier ? L’onagre contient de l’acide-linoléique qui contribue à protéger la membrane cellulaire et à harmoniser les fonctions hormonales. 

Petite astuce : vous pouvez aussi en prendre sous forme de compléments alimentaires 🙂

N’hésitez pas à vous rapprocher d’un phytothérapeute pour des conseils adaptés à tes besoins.

Les bienfaits des huiles essentielles

Les plantes peuvent aider bien des femmes à vivre mieux cette période et à faire en sorte qu’elle soit la plus normale possible ! Parmi les nombreuses huiles essentielles disponibles sur le marché, nous pouvons vous en recommander quelques-unes comme la sauge sclarée car elle active la circulation sanguine et stimule la sécrétion d’œstrogènes ainsi que le laurier noble pour ses propriétés anti-inflammatoires et antalgiques.

Détendez-vous !

De manière générale, le niveau de stress joue un rôle majeur sur ta santé et plus particulièrement sur le syndrome prémenstruel. C’est pourquoi, pour réduire les symptômes, il est primordial que vous preniez soin de toi et que vous vous écoutiez. Si vous pouvez, nous vous conseillons aussi de faire un peu de sport. La pratique sportive, en plus de réduire le stress, aide à éliminer la rétention d’eau.

Loop culottes menstruelle

Quelles sont les autres causes d’un téton gonflé et douloureux ?

Un sein, un mamelon, un téton douloureux, sont des manifestations généralement liées au syndrome prémenstruel. Malgré tout, il est important que prenne le temps régulièrement de toucher et palper tes seins pour prévenir de certaines maladies.

Chez Loop, nous te recommandons de télécharger Keep a Breast. Cette application est très pratique car elle te donne les bons gestes à réaliser pour s’assurer de la bonne santé de tes seins et te rappelle tous les mois de réaliser ton auto-palpation.

Plusieurs causes peuvent être sources de douleurs au niveau des seins :

  • une grossesse ;
  • l’allaitement ;
  • la ménopause ;
  • la taille des seins : les femmes ayant une poitrine généreuse peuvent ressentir des douleurs en raison du poids de leurs seins ;
  • la présence d’un ou plusieurs kystes mammaires ;
  • la présence d’un ou plusieurs nodules mammaires (des masses mobiles) ;
  • un traumatisme (vous vous êtes cognée) ;
  • l’absorption de certains médicaments (contraceptifs, antidépresseurs, traitement contre l’infertilité…) ;
  • une tumeur cancéreuse (même si généralement un cancer du sein n’est pas douloureux ;
  • etc…

En fonction de la gravité de la situation, ton médecin procédera à une palpation des seins et le cas échéant demandera une mammographie voire une biopsie.

À quel moment devez-vous consulter un médecin ?

Si, au cours de ton SPM, ta mastalgie (aussi appelée mastodynie), en d’autres termes ta douleur au sein est vraiment intense et qu’elle devient gênante au quotidien, et ce malgré ces petites astuces, il est important de consulter.

Généralement, dans un premier temps, le corps médical recommande la prise d’anti-inflammatoires et d’analgésiques. Si ces traitements ne sont pas suffisants, ton médecin ou ton gynécologue pourra alors te prescrire un traitement hormonal adapté.

Quoi qu’il en soit, si vous constatez le moindre changement et/ou symptôme inhabituel, comme l’apparition d’un écoulement, d’une boule, d’une lésion, d’une crevasse, d’un bouton sur tes seins et/ou qu’ils te démangent, te brûlent, sont étrangement lourds, douloureux et sensibles, il est préférable de ne pas attendre ! Le plus souvent, il s’agit d’infections bénignes qui se soignent parfaitement et en peu de temps.

J’espère que cet article pourra vous aider à vivre tes règles et ton SPM plus sereinement ! Pour aller plus loin sur ce sujet des principaux troubles liés au SPM, on vous conseille de lire notre article consacré aux maux de tête avant les règles. 

Et puis, n’oublie pas que si nous avons eu l’idée de créer Herloop c’est justement pour permettre aux femmes d’être à l’aise dans leur corps et dans leur tête durant cette période !

Loop culottes menstruelle

Des culottes menstruelles pour vivre ses règles plus sereinement :

Maux de tête et SPM (syndrome prémenstruel)

Toi aussi tu as peut-être remarqué que tu avais souvent mal à la tête à l’approche de tes règles ou pendant ? Cette manifestation gênante du SPM est relativement fréquente. Pourquoi a-t-on des migraines avant les règles ? Existe-t-il des solutions pour atténuer ce problème ? C’est ce que nous allons voir aujourd’hui.

Les maux de taux avant et pendant les règles

Les maux de tête associés aux menstruations sont assez connus et documentés bien que l’on n’en connaisse pas exactement la cause. D’ailleurs, ces migraines spécifiques ont un nom : ce sont des migraines cataméniales. Elles sont causées par les changements hormonaux, plus ou moins brutaux, chez la femme. On estime que près de 20% des femmes souffrent de migraines avant ou pendant leurs règles. Ce chiffre monte même à 60% chez celles déjà prédisposées à des migraines régulières !

Pourquoi le syndrome prémenstruel provoque-t-il des migraines ?

Si tu lis cet article, c’est que pour toi maux de tête et règles sont étroitement liés et que tu souhaites savoir quelle en est la cause. Ce type de migraines précède généralement les règles d’une semaine. Ces céphalées peuvent toucher les deux côtés de la tête ou un seul, être plus ou moins intenses, longues, sourdes ou lancinantes, allant même jusqu’à provoquer des nausées voire des vomissements…. 

En quoi le syndrome prémenstruel et les migraines sont-ils étroitement liés ?

Comme à chaque fois (ou presque), les responsables de ces désagréments sont nos hormones ! La première d’entre elles à causer ces douleurs de tête est la sérotonine. Même si cela n’est encore qu’une hypothèse, les scientifiques pensent que c’est la manière dont notre organisme la métabolise qui nous rend prédisposées ou non à ces céphalées. Par ailleurs, dans le cas du cycle menstruel, les œstrogènes et la progestérone entrent eux aussi en jeu et peuvent avoir une influence sur l’apparition de ces troubles. En effet, au cours du cycle menstruel, leurs taux connaissent des variations assez importantes qui peuvent accentuer tes maux de têtes. 

Sache aussi que le spectre de symptômes associés au syndrome prémenstruel est assez large : irritabilité, troubles du sommeil, fringales, acné, seins douloureux, etc…

Règles et mal de tête : ta contraception peut aussi en être la cause !

La prise de certains contraceptifs contribue à modifier le niveau d’œstrogènes présent dans ton corps. C’est pourquoi, il est possible que tu souffres encore plus de ces maux de tête de règles à cause de ta pilule ou de ton implant. En cas de douleurs importantes, n’hésite pas à en toucher un mot à ta gynécologue.

Loop culottes menstruelle

Comment atténuer ces céphalées ? Nos remèdes !

Si les migraines et les règles reviennent régulièrement (pour certaines femmes tous les mois), elles ne doivent pas être une fatalité ! Le mieux est d’anticiper et de prévenir ces crises, alors pour les éviter Loop te donne ses meilleures astuces pour mieux vivre cette période. 

Bois beaucoup d’eau !

C’est certainement notre conseil n°1 pour limiter le syndrome prémenstruel de migraine. Hydrater ton corps est très important pour ta santé et plus particulièrement durant cette période. En effet, un manque d’hydratation contribue à faire apparaître et à accentuer les maux de tête.

Reste au calme et repose-toi

Le sommeil est ton meilleur ami ! Pense à bien dormir ! On sait que la fatigue contribue à déclencher ces troubles. Ils peuvent être d’autant plus violents que tu es fatiguée. En étant correctement reposée tu éviteras d’avoir mal à la tête. Pour être encore plus détendue, nous te recommandons de t’allonger dans une pièce sombre et au calme. Tu peux même associer ce repos avec un massage de tes tempes afin de favoriser la circulation lymphatique et sanguine.

Réduis ton niveau de stress

Cette indication va de paire avec la précédente ! Le stress augmente les tensions musculaires. Il peut être lui aussi source de maux de tête, aussi essaye de prendre du temps pour toi pour être plus sereine.  Si tu es moins stressée, plus reposée et détendue, tes maux de tête seront moins intenses ! Pourquoi ne pas profiter de ces quelques jours pas très cools pour prendre soin de toi !? Certaines pratiques comme le yoga, l’acupuncture ou la méditation sont tout à fait indiquées.

Attention à ton alimentation !

Voici quelques pistes pour t’aider à avoir moins mal à la tête (elles sont valables tout le temps !) :

  • Limite ta consommation d’alcool car cette substance est cause de déshydratation.
  • Pour ce qui est du café, bois-en avec modération. En effet, la caféine dispose de vertus reconnues contre les maux de tête mais est, dans le même temps, source de déshydratation.
  • Privilégie des aliments frais comme les fruits et les légumes.
  • Mange du pain frais, de préférence non industriel et complet.
  • Tu peux manger de la viande et en particulier du poisson.
  • Le romarin est ton ami ! Tu peux en faire des infusions car c’est un remède naturel contre les migraines.

Les plantes peuvent aussi t’aider

Si tu n’as pas de contre-indications médicales, tu peux utiliser de la menthe poivrée (c’est la championne contre les céphalées !) lorsque tu te masses les tempes. Mets-en une goutte pure sur tes doigts et masse-toi délicatement la tête (attention à ne pas l’appliquer trop près des yeux et des oreilles) : l’huile essentielle de menthe poivrée aide à la détente et est reconnue pour ses propriétés antispasmodiques.

Dans le cas de migraines récalcitrantes et persistantes, tu peux mélanger les huiles essentielles de menthe poivrée et de gaulthérie couchée. La gaulthérie couchée est reconnue pour ses vertus antidouleur, anti-inflammatoires, rubéfiantes, antispasmodiques.

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Toutes ces solutions ne fonctionnent pas, que faire ?

Chez Loop, nous avons pour objectif de démystifier les règles, d’abattre les tabous liés aux menstruations et de faire en sorte que tu vives ces quelques jours du mois le plus normalement du monde. Alors si, malgré nos super culottes et nos petits conseils, tu n’es pas au top à cause de ces fichus maux de tête avant tes règles, il est important que tu consultes ton médecin ou ton gynécologue. Il existe plusieurs sortes de traitements anti-migraineux qui peuvent soulager ce problème. De même, un simple changement de contraception hormonale peut grandement améliorer les choses. 

Il ne faut pas que cette migraine, qui peut parfois être accompagnée de règles douloureuses, t’empêche de vivre ta vie comme tu l’entends ! Suis nos conseils et si ça ne va toujours pas, demande l’avis d’un spécialiste !

Découvrez la sélection de culottes menstruelles Herloop :

Symptôme prémenstruel, règles ou grossesse ? Comment faire la différence ?

Seins gonflés, sautes d’humeur, nausées, fringales… bien des femmes sont confrontées au syndrome prémenstruel. Or, il peut avoir bien des similitudes avec un début de grossesse. Et cela tombe plutôt mal car il peut être, du coup, une source de stress. 

 

Si tu as eu un ou des rapports non protégés durant le mois précédent l’arrivée supposée de tes règles, que tu constates un retard et/ou des changements dans ton corps, ça y est tu cogites et tu te dis qu’à tous les coups tu es enceinte ! Et puis, finalement tes règles arrivent… 

 

Alors comment savoir si l’on attend un bébé ou s’il s’agit du syndrome prémenstruel ? Loop a décidé aujourd’hui de se pencher sérieusement sur le sujet pour t’aider à y voir plus clair ! C’est parti pour les différences entre le syndrome prémenstruel et une grossesse.

C’est quoi le SPM ?

 

On estime que près d’un tiers des femmes réglées ressentent ce que l’on appelle le syndrome prémenstruel (plus connu sous le nom de SPM). De quoi s’agit-il au juste ? Le SPM rassemble tout un tas de signes cliniques, plus ou moins importants, qu’une femme peut ressentir à l’arrivée de ses règles. Et comme nous sommes toutes différentes, on peut dire qu’il y a autant de SPM que de femmes !

 

Les différents symptômes du spm

Ces manifestations physiques et/ou psychologiques surviennent généralement un peu moins d’une semaine avant les menstruations. Les symptômes du SPM les plus courants sont la fatigue, des fringales, un changement d’humeur, des seins gonflés et sensibles, des nausées, des troubles du sommeil, des troubles digestifs, l’apparition de boutons d’acné, etc… Ces symptômes sont simplement causés par un changement majeur des taux d’hormones dans ton corps (œstrogènes en tête mais aussi prostaglandines et progestérone… bref, un vrai cocktail explosif !). 

 

Le SPM est entièrement normal, mais il ne doit pas être handicapant. Si c’est le cas, n’hésite-pas à consulter un médecin (car il peut aussi cacher une maladie plus ou moins grave comme un fibrome, des lésions de l’ovaire voire un cancer).

 

Enfin, même s’il existe des exceptions, la plupart des femmes qui souffrent d’un SPM prononcé ont aussi des règles douloureusesTu veux en savoir plus sur le SPM ? Ça tombe bien parce qu’on a consacré un super article dédié au syndrome prémenstruel 😉

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Comment différencier les symptômes pré-menstruels (SPM) et une grossesse ?

Beaucoup de femmes ayant des rapports non protégés se posent la question de savoir si elles sont enceintes ou si elles subissent le SPM. En effet, tous deux ont des similitudes, et il peut être a priori très difficile de différencier les symptômes d’un début de grossesse de ceux pré-menstruels. Pour autant certains signes peuvent te permettre d’avoir une assez bonne idée de ton état. 

Alors règles ou grossesse ? Pour le savoir, il faut que tu sois à l’écoute de ton corps car si ces symptômes se ressemblent, certaines nuances permettent tout de même de les différencier.

Nb : n’oublie pas que ce blog est uniquement destiné à des fins informatives. Il ne se substituera jamais à un avis médical. Aussi si tu as des doutes, n’hésite pas à en parler à ton médecin ou un gynécologue qui saura te guider et te conseiller 🙂

SPM vs grossesse : quelques signes presque infaillibles pour savoir s’il l’on est enceinte

  • L’un des symptômes les plus courants d’un début de grossesse est l’apparition de nausées. Or, si ces nausées sont communes au SPM et à la grossesse, elles se différencient notamment par le fait que durant une grossesse, elles sont plus durables. Lorsque l’on est enceinte, elles apparaissent environ 15 jours après la fécondation, sont davantage présentes entre la 8ème et 10ème semaine et sont souvent matinales. Elles s’expliquent par un taux important de HCG.
  • Le gonflement des seins est lui aussi un phénomène durable et plus prononcé dans la mesure où le corps se prépare à allaiter bébé.
  • Une température basale élevée : quelques jours avant les règles, la température basale baisse. Si ce n’est pas le cas, cela peut signifier que tu attends un bébé.
  • Tu as davantage faim ! Tout comme pour le SPM, si tu es enceinte, ton appétit augmente. À ceci près que pour le symptôme prémenstruel, cette fringale se porte en particulier vers des aliments “rassurants” (fast-food, nourriture grasse, sucrée…) alors que dans le cas d’une grossesse elle est spécifique et parfois même peut différer de tes goûts habituels.
  • Des petits saignements peuvent survenir entre 6 à 12 jours après la fécondation. C’est ce que l’on appelle “saignement de nidation” : il correspond au moment où l’œuf se fixe dans la muqueuse de l’utérus.
  • Des crampes utérines : s’il est vrai que le SPM peut être associé à la survenue de crampes quelques jours avant les règles ; lors d’une grossesse, un phénomène identique peut être constaté mais il peut durer plusieurs semaines.
  • Des difficultés à respirer et/ou une sensation d’essoufflement. Ce symptôme s’explique tout simplement par le fait que l’embryon a besoin d’oxygène pour son développement. Ce phénomène est assez fréquent en début de grossesse mais s’il persiste ou s’il est majeur et gênant, nous te conseillons de consulter.
  • Une sensibilité exacerbée de l’odorat : lors d’une grossesse, avec le changement hormonal, le sens de l’odorat devient plus développé. Tu deviens plus sensible à certaines odeurs qui auparavant ne te dérangeaient pas.
  • Une envie plus fréquente d’uriner ; et pour cause, lorsque l’on est enceinte, l’apport en sang vers la vessie augmente, ce qui donne davantage envie d’aller aux toilettes.

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Cas particuliers : Herloop te dit tout !

Retard de règles : suis-je forcément enceinte ?

Reste sereine, un retard des règles ne signifie pas forcément que tu sois enceinte. Plusieurs facteurs peuvent conduire à un dérèglement du cycle menstruel (fatigue, stress, contraceptif…). 

Pour en avoir le cœur net et arrêter de stresser, le plus simple est de faire dans un premier temps un test de grossesse : il pourra te dire si oui ou non tu es enceinte. Attention toutefois, ces tests disponibles en pharmacie voire en grande surface ne sont pas sûrs à 100%. Pourquoi ça ? Parce que ces tests grand public détectent le taux de HCG présent dans l’urine, or ce dernier n’est décelable que 9 à 10 jours après la fécondation. 

Durant cette période de retard, n’hésite pas a porter ta culotte menstruelle herloop pour ne pas avoir à penser à emporter une protection hygiénique partout avec toi…

Les culottes menstruelles parfaites pour ne pas stresser de voir ses règles arriver :

Aussi, pour être vraiment sûre, il te faudra consulter ton médecin ou ton gynécologue. Il réalisera un examen approfondi associé à une échographie et à une prise de sang. 

Dans tous les cas, si tu as le moindre doute, si tu notes des retards fréquents de règles ou tout changement, chez Loop nous te conseillerons toujours d’aller voir un spécialiste plutôt que de rester avec des questions sans réponse.

Bouffée de chaleur avant les règles, suis-je enceinte ?

Certaines femmes peuvent ressentir des bouffées de chaleur avant l’arrivée de leurs règles. Il s’agit même d’un symptôme assez courant du SPM ! Aussi, tu n’as pas de souci à te faire, cela ne signifie pas forcément que tu sois enceinte.

Faire la différence entre des règles douloureuses et un début de grossesse

L’arrivée imminente de tes règles peut être associée à des crampes importantes (de l’utérus et/ou du vagin). Or, ces douleurs peuvent aussi être un signe précoce de grossesse et, de plus, être concomitantes avec le saignement de nidation, ce qui peut t’induire en erreur. 

Comment faire la différence entre douleurs de règles et un début de grossesse, en d’autres termes, comment savoir s’il s’agit de symptômes de règles douloureuses ou d’une grossesse

Le saignement de grossesse est généralement très léger : il se s’agit que des quelques gouttes voire des traces rouge clair à brunâtres au fond de ta culotte. À l’inverse, des règles douloureuses sont généralement associées à des saignements plus importants et, du moins, bien rouges.

Par ailleurs, les crampes de grossesse peuvent durer plusieurs semaines, alors que celles liées aux règles disparaissent avec la fin de celles-ci.

Nous voilà arrivées à la fin de cet article ! On espère qu’il t’aura aidé à répondre à la question “Symptômes des règles ou grossesse ? Quelle(s) différence(s) ?”. Comme tu as pu le constater, même si certains signes sont assez proches, ils peuvent néanmoins être dissociés.

Quoi qu’il en soit, si tu as le moindre doute, n’hésite pas à consulter ton médecin ou ton gynécologue. Lui seul pourra te rassurer et prendre, si besoin, la situation en main et te prescrire un traitement adapté !

Loop culottes menstruelle

Pourquoi j’ai mal avant les règles ? Symptômes et remèdes du SPM…

Mal aux seins, douleurs en bas du ventre, fatigue, grosse faim ou moral à zéro… Tous ces symptômes annoncent probablement l’arrivée imminente de tes règles. Alors aujourd’hui, on te dit tout sur le SPM pour mieux comprendre ce qu’il se passe dans ton corps et dans ta tête !

Qu’est ce que le syndrome prémenstruel ou SPM ?

On en entend souvent parler sur les réseaux sociaux et dans les podcasts, mais le SPM c’est quoi exactement ? 

SPM = Syndrome PréMenstruel

Pour te la faire courte, le syndrome prémenstruel c’est l’ensemble des symptômes physiques mais aussi tous ces changements d’humeur qui surviennent avant l’arrivée de tes règles. Il semblerait qu’une femme sur trois ressentent les symptômes du SPM.

À noter que ces symptômes et l’intensité des douleurs ressenties peuvent varier d’une femme à l’autre et même d’un cycle à l’autre !

Alors si tu te surprends à pleurer comme une madeleine parce qu’il n’y a plus de Kinder pingui dans le frigo ou que tu fais une crise de nerfs pour une blagounette alors qu’il n’y a pas lieu… vérifie ton planning menstruel, (on a d’ailleurs 3 super applis à te conseiller sur ce sujet) mais il se peut que ce changement d’humeur soit causé par ce fichu SPM.

La bonne nouvelle c’est que ce le SPM n’est pas une maladie et qu’il n’est que de courte durée ! Pas besoin de s’inquiéter outre mesure mais voici tout de même quelques infos et astuces pour mieux vivre cette période moyennement cool 😉

Illustration : Julie Hirondelle

 

Quand commence le syndrome prémenstruel ?

Le syndrome prémenstruel survient comme son nom l’indique avant les règles. C’est une période ou les hormones sont en ébullition et qui commence plusieurs jours voire plusieurs semaines avant l’arrivée des règles. Et qui s’arrête heureusement le premier jour de tes menstruations (même s’il lui arrive parfois de traîner un peu en longueur) ! 

 

Quels sont les symptômes du SPM ?

Voici la liste des symptômes prémenstruels qui peuvent survenir pendant le SPM :

  • seins sensibles ;
  • acné ;
  • maux de têtes ;
  • fatigue intense ;
  • ballonnements ;
  • douleurs musculaires ;
  • troubles de l’appétit ;
  • crampes abdominales ;
  • troubles digestifs (constipation, gaz) ;
  • changements d’humeur, irritabilité ;

Quelques-uns de ces symptômes peuvent t’être familiers comme les seins gonflés, des douleurs dans le bas ventre, des maux de tête et la sensation d’être déjà à fleur de peau alors que tes règles ne sont même pas encore arrivées ! 

Le syndrome prémenstruel peut varier aussi en fonction de l’âge. Au début de ton cycle de femme, durant tes premières règles et parfois jusqu’à 30 ans, le syndrome prémenstruel peut être plus difficile à gérer car les fluctuations d’hormones sont élevées. 

Idem si tu as arrêté ta contraception hormonale. Il se peut que tu mettes du temps à réguler ton cycle et que les douleurs soient plus intenses. 

Et enfin le SPM peut aussi varier à l’approche de la ménopause. C’est la période de transition avant que les menstruations ne cessent définitivement (peut varier de 1 à 8 ans). Pendant cette durée, les symptômes du SPM évoluent. Ils peuvent soit s’accentuer, soit diminuer car les ovaires se dérèglent progressivement jusqu’à l’arrêt total des menstruations. 

 

Pourquoi ça m’arrive avant et pas pendant les règles ? 

Rappelle-toi, dans un précédent article on t’avais présenté les différentes phases de ton cycle. Il semblerait que le SPM soit lié aux fluctuations des différentes phases entre l’ovulation et le déclenchement des règles (la phase folliculaire et la phase lutéale.

Il se passe beaucoup de choses entre la phase folliculaire et la phase lutéale. La progestérone et les oestrogènes mettent notre corps et notre tête à rude épreuve, et ce sont elles qui semblent être les causes du syndrome prémenstruel.

Mais la vérité, c’est qu’on ne sait pas précisément ce qui déclenche le SPM et la source exacte de ces troubles qui nous gâchent parfois la vie… Eh oui, sur certains points, le corps de la femme reste encore un mystère !

Comment différencier SMP et début de grossesse ?

“Tu serais pas enceinte toi ? “ 

Heeeeeeuuu ben oui dit donc, j’ai les seins tout gonflés, mal au ventre et pis j’ai envie d’un gros burger… 

Et là, c’est soit l’angoisse, soit l’euphorie en fonction de ce que tu attends de la vie. Et puis tes règles déboulent et… #OufTournéeGenerale ou #Désillusion.

Pas facile de différencier le SPM d’un début de grossesse… Pourquoi ? Parce que tout simplement les symptômes sont les mêmes. Encore la faute aux oestrogènes et à la progestérone qui se comportent plus ou moins de la même manière, que ce soit en cas de SPM ou de grossesse…Mais heureusement, quelques symptômes sont plus identifiables selon si l’on est enceinte ou si l’on souffre simplement de son SPM ! 

Les symptômes liés au syndrome prémenstruel :

 

Ce qui peut te mettre la puce à l’oreille en cas de grossesse : 

  • envie de vomir le matin et cela tous les jours ;
  • les seins qui grossissent (exemple, si tu prends une taille de soutien gorge) ;
  • envie d’un aliment précis ;
  • dégoût pour les odeurs ;
  • petites pertes de sang ;
  • envie de faire pipi souvent ;

Et bien évidemment, si tu observes un retard de règle, il est préférable d’opter pour le test de grossesse. Quant à la fatigue, elle ne peut pas être prise en compte car elle se ressent dans les deux cas. Notre corps travaille dur, que ce soit pour préparer l’arrivée d’un bébé ou pour l’arrivée des règles. Eh oui tu es une warrior, ne l’oublie jamais 🙂 

D’ailleurs, si tu veux en savoir un peu plus sur les symptômes liés à un début de grossesse, on te conseille d’aller jeter un coup d’œil à notre article dédié qui t’expliquera tout ça plus en détail 😉

 

Loop culottes menstruelle

Comment soulager le syndrome prémenstruel ou SPM ?

Il n’existe pas de recette miracle pour soulager les symptômes du SPM que ce soit sur des troubles physiques ou sur nos changements d’humeur… mais à force d’en parler entre nous, on se rend vite compte que certaines astuces de grand-mère peuvent être d’un grand secours !

  • la bonne vieille bouillotte pour les douleurs au ventre (à poser sur le bas ventre ou les lombaires si la douleur irradie jusque dans le dos)
  • une douche chaude pour les crampes abdominales
  • la phytothérapie : l’onagre pour les tensions mammaires, le gattilier pour le rééquilibrage hormonal en traitement préventif… Bien sûr à valider avec ton médecin traitant ou ton phytothérapeute. 
  • la cure de magnésium et la vitamine B6
  • les massages pour se détendre (allez hop on met son chéri à contribution)
  • un bon bain chaud pour se détendre.
  • dormir suffisamment ! On ne le répètera jamais assez le sommeil, c’est la vie 😉
  • une alimentation saine : on mange des fibres (bon contre la constipation) et on évite de manger gras pour éviter les poussées d’acné.

Même s’il est préférable pour la santé de privilégier les méthodes naturelles, il arrive qu’on soit contrainte de passer par la case “médicaments” en recours d’urgence. Dans ce cas, l’ibuprofène (en prise max de 6 comprimés par jour) ou le paracétamol (en prise de 4 comprimés max) peuvent soulager les crampes abdominales et les migraines. En parlant de mal de tête, on d’ailleurs d’autres tips à te donner pour te soulager dans l’article sur les migraines 😉

Pour ce qui est des troubles de l’humeur, le stress est à bannir et tout ce qui peut le faire augmenter à savoir le café, l’alcool, les boissons énergisantes… Tu le comprendras bien assez vite, le stress est source de nombreux désagréments qui peuvent être évités si on arrive à le gérer !L’idéal est d’essayer de faire un peu de sport (viva les endorphines) ou si c’est impossible pour toi, de se détendre au maximum pour libérer ton corps et ton esprit !

En tout cas, il semblerait qu’avoir une bonne alimentation et faire une activité physique soit très bénéfique pour prévenir et soulager les symptômes qui surviennent avant les menstruations. Exit donc la plaquette de chocolat vautrée sur le canap’ (même si on adore ça). Et il arrive qu’en dernier recours les médecins prescrivent la pilule oestro progestative à certaines femmes qui souffrent beaucoup, pour aider à lisser les fluctuations et diminuer l’intensité des douleurs. 

Dans tous les cas, si tu sens que les symptômes sont difficilement gérables ou anormalement intenses, mieux vaut aborder le sujet avec ton médecin ou ton gynécologue. Car même si le SPM est de courte durée, il existe toujours des astuces ou des traitements qui t’aideront à mieux vivre cette période.

 

Loop culottes menstruelle

Qu’est ce que trouble dysphorique prémenstruel ?

Il arrive que certaines femmes soient victimes de symptômes si forts qu’ils deviennent un handicap allant parfois jusqu’à être dans l’incapacité de pouvoir travailler ou de mener certaines activités au quotidien… On appelle ça le trouble dysphorique prémenstruel.

Environ 2 à 6% des femmes fécondes seraient touchées par le trouble dysphorique prémenstruel

Le trouble dysphorique prémenstruel se caractérise par un état d’irritabilité, de colère ou de déprime très fort. Des symptômes bien plus intenses que ceux du syndrome prémenstruel. Si forts qu’on pourrait les comparer en termes d’intensité à une dépression. 

Même si les origines du TDPM restent encore aujourd’hui à déterminer, il existe tout de même des solutions pour mieux gérer ces troubles qui ont souvent des répercussions importantes sur la vie de famille et le travail… Et le mal être au sein du cercle familial serait d’ailleurs un facteur déclencheur voire aggravant. Une boucle infernale qu’il faut savoir pouvoir stopper avant qu’elle ne s’envenime. C’est pourquoi il est toujours très important de bien noter les divers symptômes qui surviennent lors de la période qui précède tes menstruations  (mêmes les plus insignifiants) afin d’aider les professionnels de santé à faire leurs diagnostic et trouver un traitement adéquat.

A savoir que les traitements ne prennent pas seulement en compte les médicaments mais aussi la modification de l’hygiène de vie et une approche psychologique.

Tu l’auras compris, le syndrome prémenstruel touche de nombreuses femmes et cela de manières parfois totalement différentes. Les symptômes sont encore trop souvent méconnus et incompris alors que les règles, c’est l’affaire de tous et pas que des femmes !

Découvrez une sélection de culottes menstruelles pour prévenir l'arrivée des règles :

Qu’est-ce que le syndrome du choc toxique ?


Tu as peut-être déjà entendu parler du
syndrome du choc toxique, mais sais-tu exactement ce que c’est ? Très médiatisé ces dernières années, et notamment depuis que la mannequin américaine Lauren Wasser a raconté son expérience, le syndrome du choc toxique peut faire peur lorsque l’on ne sait pas très bien de quoi il s’agit. Qu’est-ce que c’est ? Qui est à risque ? Comment éviter le choc toxique ? Quelles sont les protections hygiéniques les plus sûres ? Comme toujours en matière de santé, il est important de s’informer, sans pour autant tomber dans la paranoïa.

Le syndrome du choc toxique, c’est quoi exactement ?

Qu’est-ce qui cause le choc toxique ?

Le choc toxique est tout simplement une infection causée par le staphylocoque doré, staphylococcus aureus, dont tu as sûrement déjà entendu parler. Cette bactérie – naturellement présente chez 30 à 40 % de la population, à l’intérieur et à la surface du corps – n’est pas nécessairement dangereuse, mais il faut prendre certaines précautions pour éviter qu’elle ne le devienne.

Environ 1 % de la population féminine a cette bactérie dans le vagin, où elle est susceptible, sous certaines conditions, de produire une toxine appelée TSST-1. Cette toxine, qui est générée par le staphylocoque doré, peut alors se propager par la muqueuse utérine et dans le sang. Il faut noter qu’environ 85 % des femmes produisent des anticorps qui luttent contre cette toxine, mais pour celles qui n’en produisent pas, les conséquences peuvent être graves : certaines organes, tels que le foie, les poumons ou les reins, peuvent être touchés, et c’est précisément cela qu’on appelle le choc toxique.

Toutefois, pour que la toxine TSST-1 se développe, il faut que le staphylocoque doré reste bloqué dans le vagin trop longtemps. Tu l’auras compris, c’est pour ça qu’on associe tampons et choc toxique, de même que les cups et les éponges menstruelles. Ce n’est pas tant que leur utilisation est vraiment dangereuse, mais le risque de choc toxique est accru lorsque l’on ne prend pas les précautions nécessaires, et notamment lorsque l’on garde sa protection périodique trop longtemps. Deux facteurs augmentent le risque de choc toxique : la quantité de sang retenu à l’intérieur du vagin et la durée pendant laquelle celui-ci reste bloqué.

Empêcher le flux menstruel de s’écouler est bien sûr tentant parce que tu veux être tranquille pendant la journée, mais c’est justement l’origine du problème. Les protections hygiéniques intra-vaginales contiennent des matériaux susceptibles de favoriser le développement des staphylocoques, et donc d’augmenter les risques de sécrétion de la TSST-1. Polyester, polyacrylate, latex, carboxymethylcellulose, rayonne… Ces matériaux, associés à l’augmentation de la quantité d’oxygène, de dioxyde de carbone et du niveau de pH du vagin pendant les règles, créent en effet un milieu idéal pour la multiplication des staphylocoques dorés.

Comment savoir si on est victime du choc toxique ?

En entendant les mots « syndrome du choc toxique », tu t’inquiètes peut-être de savoir si tu le reconnaîtrais si ça t’arrivait ? Tout d’abord, pas de panique, les cas restent très rares. Toutefois, il ne faut pas négliger ce risque non plus, et il est important d’en connaître les symptômes au cas où.

Le choc toxique se manifeste par une forte fièvre, des maux de tête, une fatigue anormale, des douleurs musculaires, des diarrhées et des vomissements, couplés à une éruption cutanée qui rappellera un coup de soleil. Si l’on porte, ou que l’on a porté dans les heures qui précèdent, une protection hygiénique, il est absolument essentiel d’être à l’écoute de ces symptômes. Au moindre doute, il vaut mieux se rendre immédiatement à l’hôpital car une fois le choc toxique déclenché chaque minute compte.

Combien de cas de chocs toxiques y a-t-il par an ?

Le syndrome du choc toxique reste relativement rare puisque l’on estime le nombre de cas à 0,06 cas pour 100 000 femmes. Ces dernières années, on a dénombré une vingtaine de cas par an en France. En 2017, par exemple, il y a eu 23 cas de choc toxique.

On a relevé une augmentation du nombre de cas entre les années 1990 (où il n’y avait tout simplement pas de cas en France) et les deux premières décennies des années 2000 (où on est passés à environ une vingtaine de cas par an), mais on ignore la raison de cette augmentation ; il est possible que le syndrome du choc toxique soit simplement mieux identifié depuis sa médiatisation. Autre hypothèse, les matières synthétiques utilisées dans la fabrication des protections hygiéniques, et notamment des tampons, plus largement utilisés par les Françaises, seraient à mettre en cause.

Au vu du faible nombre de cas, tu te demandes peut-être pourquoi une telle prévention ? Tout simplement parce qu’il existe des moyens simples d’éviter le choc toxique.

Comment éviter le choc toxique ?

Tout d’abord, il convient de respecter quelques règles d’hygiène de base, comme bien se laver les mains avant l’insertion d’une protection hygiénique intra-vaginale.

Ensuite, quelle que soit la protection périodique utilisée, il est impératif de la changer très régulièrement : il est recommandé de changer ou de vider sa protection intra-vaginale toutes les 4 heures et de ne jamais la garder plus de 6 heures.

Et parce que tu dors probablement plus de 4 ou 6 heures par nuit, il est important d’utiliser une autre protection périodique qu’une protection intra-vaginale.

Pourquoi préférer une culotte de règles ?

Aucun cas de choc toxique avec serviette hygiénique n’a été recensé, mais comme beaucoup de filles, tu ne les supportes peut-être pas. Les serviettes hygiéniques jetables contiennent elles aussi des matières synthétiques que tu préfères sûrement éviter, sans parler de leur odeur parfois désagréable et de leur coût sur le long terme, aussi bien économique qu’environnemental. Les serviettes hygiéniques lavables sont une bonne alternative aux jetables, mais elles ne sont pas toujours confortables et tiennent parfois mal en place.

La culotte de règles Loop solutionne à la fois les problèmes de confort et de risque de choc toxique. Non seulement le flux est libre de s’écouler, mais elle est discrète, jolie et confortable de jour comme de nuit. Il suffit de la porter comme un sous-vêtement classique : la culotte Loop fait le reste. Une fois portée, il suffit de la rincer à l’eau froide avant de la laver en machine.

Adaptée à tous les types de flux, la culotte menstruelle Loop protège pendant 12 heures. De quoi dormir tranquille ! De plus, la culotte de règles Loop est constituée de matériaux respectueux de la santé et de l’environnement.

En adoptant les culottes de règles Loop non seulement tu te prémunis contre le syndrome du choc toxique, tu respectes ton corps en utilisant une protection hygiénique naturelle et confortable et tu fais des économies sur le long terme, mais en plus tu fais un geste pour la planète en réduisant ton empreinte écologique. Et à l’heure actuelle, c’est déjà ça de pris 😉 !

Une culotte de règles taille haute : pourquoi et pour qui ?

Au moment de choisir ta culotte de règles, tu te demandes peut-être laquelle sera la plus confortable, la plus sûre, la plus jolie, ou tout ça à la fois… On avait un peu mis au placard la culotte taille haute, dite « culotte de grand-mère ». Mais comme pour tout un tas de choses, on se rend maintenant compte que nos grand-mères avaient tout compris. Confortable, joliment rétro, modelante ou gainante, il est grand temps de ressortir la culotte taille haute !

Pourquoi choisir une culotte de règles taille haute ?

Une alliée de taille… haute

Quand tu as tes règles, tu as sûrement envie de te sentir à l’aise et protégée avant tout. Une culotte taille haute procurera ce sentiment agréable d’être enveloppée, tout en garantissant un effet absorbant optimal. La culotte Loop taille haute Sofia convient aussi bien aux flux légers qu’aux flux les plus abondants, ce qui en fait ta meilleure alliée les jours de flux importants. Et ce qui est vrai pour le jour est également vrai pour la nuit, puisque la culotte taille haute Sofia te permet d’être tranquille pendant environ 12h.

Droite et fière

Le fait que la culotte taille haute couvre le ventre permet de mieux se tenir. L’effet couvrant de la culotte Sofia donne envie de se redresser et d’améliorer sa posture sans pour autant se sentir serrée au niveau de la taille. L’effet est doublement bénéfique : non seulement ta colonne vertébrale et ta silhouette te remercient, mais en plus tu te sens plus sûre de toi.

Un look de pin-up

Que tu aies un peu, beaucoup ou pas du tout de ventre, la culotte taille haute te fera une silhouette de pin-up. Que tu la portes sous une jupe, une robe ou un jeans, la culotte taille haute Sofia, en plus de te protéger, te fera te sentir bien dans ta tenue. Tu apprécieras son effet moulant et enveloppant très seyant ! Bien galbante et habilitante, la culotte taille haute aplatit le ventre, arrondit les fesses et allonge les jambes. Que demander de plus ?!

Un design élégant

Non seulement la culotte Sofia te protège tout en embellissant ta morphologie, mais en plus c’est un joli sous-vêtement : avec sa dentelle brodée sur les côtés et dans le dos, elle reste féminine et délicate, et à certains moments du cycle, c’est un plaisir non négligeable.

À qui s’adresse la culotte taille haute ?

Quelle morphologie pour la culotte taille haute ?

Bonne nouvelle : quelle que soit ta morphologie, il y a fort à parier que la culotte taille haute t’ira bien ! Elle est justement conçue pour embellir la silhouette, qu’il s’agisse d’aplatir le ventre ou d’allonger les jambes, tout en marquant les hanches. C’est une culotte que tu porteras volontiers et dans laquelle tu te sentiras bien. La culotte taille haute est aussi une grande chouchoute chez les filles aux courbes plus généreuses, et pour cause : chez les grandes tailles, elle maintient et galbe la silhouette pour la rendre plus flatteuse. C’est pourquoi, nous te la proposons de la taille XS au 3XL !

Pour quel type de flux ?

Qui peut le plus peut le moins, et la culotte taille haute Sofia peut le plus, puisqu’elle est prévue pour les flux abondants. En effet, c’est la plus absorbante de notre gamme Her Loop. Pour te donner une idée, elle correspond à l’absorption de 4 tampons. Elle est donc idéale en début et milieu de cycle, lorsque tu as besoin de te sentir parfaitement protégée et que tu as envie d’être à l’aise dans ce que tu portes.

Avec quoi porter la culotte taille haute ?

Tu as sûrement déjà connu ces petits moments de doute en enfilant un jeans taille haute ou une robe moulante. La culotte se voit-elle ? Coupe-t-elle la silhouette en deux au niveau de la taille ? Avec la culotte taille haute Sofia, fini les inquiétudes du genre ! La culotte taille haute est suffisamment moulante pour embellir la silhouette avec un pantalon taille haute, une robe près du corps ou une jupe crayon. 

Quand porter la culotte de règles taille haute ?

La culotte taille haute Sofia garantit une protection pendant 12h, ce qui en fait une protection menstruelle idéale aussi bien de jour que de nuit. Efficace pour tous les types de flux, même les plus abondants, elle te fera l’œil au plus fort de ton cycle, à tel point que tu en voudras probablement une pour la journée et une pour la nuit. Non seulement la culotte taille haute Sofia est confortable et efficace, mais elle permet d’éviter les risques de choc toxique liés aux protections intra-vaginales : les risques de choc toxique augmentant au fil des heures avec une cup ou un tampon, ils sont à proscrire la nuit, au profit d’une culotte de règles.

Et après l’accouchement ?

Au-delà des règles, la culotte taille haute est également recommandée les premiers temps en cas d’accouchement par césarienne : tu te sentiras protégée tout en évitant les douleurs que causerait l’élastique d’une culotte taille basse. Et puis ça t’évitera de devoir te préoccuper de protections jetables, pas toujours agréables, surtout pendant cette période.


Tu l’auras compris, la culotte de règles taille haute te rendra bien des services, à différents moments de tes règles et de ta vie. Protection hygiénique pour les flux allant de peu à très abondants, elle constitue également un merveilleux coup de pouce au niveau de la silhouette. De jour comme de nuit, elle te permettra de te sentir tranquille tout en étant à l’aise et, cerise sur le gâteau, jolie. Et on ne va pas se mentir, à certains moments du cycle, c’est tout ce dont on a besoin.

Protection hygiénique et irritations : comment s’en sortir ?

Chaque mois, c’est la même chose : tes règles reviennent et avec elles leur lot de petits et de gros tracas. Aux douleurs peuvent s’ajouter des problèmes de démangeaisons, d’irritations, de brûlures voire de mycoses liées aux protections menstruelles traditionnelles que sont les serviettes hygiéniques jetables et les tampons. On estime même que près de 30% des femmes sont allergiques aux serviettes jetables !!

À quoi ces allergies sont-elles dues ? Quel est le lien entre irritations et serviettes hygiéniques ? Existe-t-il des solutions ?

Parce qu’entre nous il n’y a pas de tabou, tes copines de Herloop te disent tout !

Protections hygiéniques traditionnelles : des composants mis en cause

Dernièrement plusieurs études ont pointé du doigt la présence de composants pas toujours très nets entrant dans la fabrication des tampons et des serviettes hygiéniques traditionnels. Ces protections contiennent des matières synthétiques et chimiques ou encore des parfums. Afin de justifier de leur utilisation, les industriels les présentent comme des atouts pour une meilleure hygiène. À l’inverse, d’autres organisations, comme l’Anses, dénoncent leur utilisation. 

Pire encore, certaines d’entre elles sont même considérées comme perturbateurs endocriniens voire cancérogènes et l’on se demande ce qu’elles peuvent bien faire là (pesticides, phtalates, chlore, aluminium, hydrocarbures, dioxine, alcools, etc…).

Ces constatations sont loin d’être anodines, surtout lorsque l’on sait qu’une femme a ses règles en moyenne 520 fois au cours de sa vie et que ces produits hygiéniques sont en contact prolongé avec ses muqueuses. Alors irritations et serviette hygiénique, que faire ?

Sécheresse vaginale et tampon

Avant de s’intéresser aux irritations liées aux serviettes hygiéniques, on voudrait te parler des problèmes de sécheresse vaginale provoqués par les tampons. Les publicités ne s’en cachent pas : les industriels se disputent la technologie la plus absorbante ! Si cet argument peut sembler rassurant pour les consommatrices que nous sommes, car promesse d’absence de fuite, il engendre des dégâts collatéraux dont on se passerait bien ! Le premier d’entre eux : la sécheresse vaginale. En effet, le tampon n’absorbe pas uniquement le sang des règles mais également les sécrétions vaginales. Or, ces dernières protègent et maintiennent propre la muqueuse vaginale. À ces désagréments s’ajoute, au fil du temps, l’accumulation dans ton corps de toutes les substances dangereuses contenues dans les tampons.

J’ai des irritations dues à ma serviette hygiénique, que faire ?

De plus en plus de femmes et de jeunes filles se plaignent d’irritations dues à leur serviette hygiénique

Il existe plusieurs sortes d’irritations causées par les serviettes hygiéniques. N’oublie pas que ta serviette est au contact de ta peau tout au long de la journée. Elle peut alors engendrer des échauffements en frottant contre ton pubis ; qui plus est, ce phénomène peut être accentué par la chaleur, la transpiration, le rasage, une épilation ou des vêtements serrés, etc…

Ces irritations cutanées peuvent également être causées par la présence des composants chimiques évoqués un peu plus haut. Il s’agit alors d’une allergie. Outre la nécessité de changer de protection, demande à ton médecin ou à ton gynécologue un traitement afin de diminuer ces irritations et te soulager.

Quid des mycoses à répétition ?

Tu as eu une ou plusieurs mycoses ? L’utilisation de tampons et de serviettes hygiéniques en est peut-être la cause. Pour te soigner tu as du prendre des antibiotiques mais ces derniers ont pour effet secondaire de ravager la flore vaginale renforçant d’autant plus le phénomène de sécheresse. Alors comment s’en sortir ? Ce cycle infernal est-il sans fin ?

Encore une fois, pas de panique ! Des solutions simples existent ! Commence d’abord par t’occuper de la reconstruction de ta flore vaginale grâce à la prise de probiotiques (par voie orale ou vaginale). Ensuite, viendra la question du choix de la bonne protection périodique. Comme tu l’as compris, la sécheresse et les infections du vagin et de la vulve peuvent être dues à des protections hygiéniques classiques non adaptées voire à la présence de composants chimiques. Alors que faire ?

La solution : lire les étiquettes. Vraiment ?

Si tu fais partie de ces femmes gênées par les irritations dues à leur serviette hygiénique ou à leur tampon, tu te dis certainement que le plus simple et de trouver quelle molécule ou quel composant provoque ces troubles. Pour cela, la meilleure solution est, semble-t-il, de se fier aux étiquettes des fabricants.

Or, là encore, un problème de taille se pose : les marques restent volontairement évasives sur le sujet. Comme il n’existe pas de réglementation contraignante, elles ne sont pas tenues d’afficher la composition de leurs produits (sauf si elles utilisent une lotion ou une des 26 substances parfumantes allergènes présentes dans le règlement européen sur les cosmétiques). Or, en raison de l’absence d’une liste exhaustive, tu ne sauras certainement jamais ce qui te provoque ces démangeaisons. Chez Herloop, on a la solution à tous tes problèmes : nos sous-vêtements menstruels !

Les culottes menstruelles Herloop : ta meilleure alternative

Herloop a imaginé toute une gamme de culottes menstruelles. Pratiques et agréables à porter, elles sont une solution fiable et saine aux autres protections hygiéniques

Nos jolies petites culottes t’accompagnent pendant plusieurs années (de 3 à 5 ans). Leur conception a été particulièrement soignée puisqu’elles ne contiennent aucune substance chimique potentiellement dangereuse pour ta santé. Constituées de trois couches de tissu (coton, nylon et polyester), les culottes menstruelles Herloop canalisent ton flux pour t’assurer une protection optimale tout en étant confortables et en respectant ton intimité. Ne laissant pas l’odeur passer, tu peux les porter au quotidien, à l’école, au travail comme pour tes loisirs. Lavables et donc réutilisables, elles te permettent, en plus, de faire un geste pour la planète et de réaliser de belles économies ! 

En faisant le choix de porter nos sous-vêtements, tu éviteras à des milliers de serviettes et tampons de se retrouver dans nos cours d’eau ou dans des sites d’enfouissement. Cool, non ?

Tu l’as bien compris : la culotte Herloop a tout bon ! Esthétique, confortable, efficace, elle est à tes côtés pour te permettre de vivre tes menstruations autrement. Tu ne te poseras plus l’éternelle question “irritations et serviettes hygiéniques, que faire ?” : grâce à Herloop, les démangeaisons et les brûlures seront de l’histoire ancienne !

Découvrez la sélection de culottes menstruelles Herloop :

1ères règles et 1er tampon : une étape obligatoire. Vraiment ?

Chez Herloop, on souhaite que les règles ne soient plus un tabou. Mieux encore, nous voulons que cette période, qui revient chaque mois, ne nous empêche pas de vivre comme on le souhaite, et ce quel que soit notre âge !

Aussi, si ta fille ou ta petite sœur s’apprête à avoir ses première règles, voici un article que l’on a spécialement écrit pour elle, pour lui parler de la meilleure façon de vivre ce grand chamboulement.

Pourquoi les serviettes et les tampons pour les jeunes filles, ce n’est pas si cool ?

Avant l’arrivée des culottes menstruelles, les jeunes filles qui avaient leurs premières règles ne disposaient que de deux options : les tampons et les serviettes hygiéniques. Et pourtant, l’une comme l’autre ne sont pas tops ! Outre leurs compositions pas très nettes, elles ne sont pas faciles à mettre et sont très peu pratiques. On t’explique pourquoi !

Généralement, lors de ses premières règles, une jeune fille est tentée par la serviette hygiénique. Si elle peut paraître facile à utiliser pour une première fois, elle présente toutefois des inconvénients majeurs. Il peut arriver que tu ressentes des irritations à cause du frottement voire des démangeaisons en ayant une réaction allergique à leur contact : c’est d’ailleurs très fréquent puisque l’on estime que près de 30% des femmes y sont allergiques ! À cela s’ajoute, le fait qu’elles dégagent de mauvaises odeurs, surtout lorsqu’il fait chaud et que tu peux te retrouver bloquée en n’ayant pas de poubelle à disposition pour la jeter…  Bref, cette première solution est loin d’être la bonne, alors qu’en est-il du tampon lorsque l’on est une jeune fille ?

Chez Herloop, nous avons bien compris que le tampon lorsqu’on commence tout juste à avoir ses règles, n’est pas la meilleure des solutions. Pourquoi cela ? Tout simplement parce que lui aussi n’est ni pratique ni idéal. En effet, son utilisation peut être source d’angoisses, de peurs et de douleurs. Il peut être difficile à mettre et à retirer : en somme, une vraie galère quand on est toute jeune.  Or, quand l’on est une ado de 12, 13, 14 ou 16 ans, comme toi, on a bien mieux à faire que de se sentir obligée de mettre des tampons ou des serviettes ! 

Avec Herloop inutile de te poser la question “Peut-on mettre des tampons à 14 ou 12 ans ?” car on a la meilleure solution qui soit ! 

Focus sur la Teen, notre culotte menstruelle pour ado !

Teen : pour vivre tes règles sereinement

culotte menstruelle adolescente lila

Comme tu l’as vu, la prise en main de ton 1er tampon peut être source d’angoisses et d’inconfort alors pour pallier ce problème choisis un sous-vêtement menstruel Herloop. Aussi, chez Herloop, on te conseille nos culottes menstruelles Teen pour accueillir tes premières règles en douceur et en sécurité ! On t’explique pourquoi elles sont parfaites en 4 arguments ! Tu es prête ? C’est parti !

Nous sommes certaines que notre jolie culotte magique va te plaire : avec elle aucune fuite ni mauvaise odeur ne sont à craindre. Mieux encore, grâce à la culotte menstruelle Teen, tu peux même oublier tes règles en ne changeant pas tes petites habitudes : enfile-la à ton réveil, pars à l’école ou à tes activités extrascolaires comme si de rien n’était ! Tu peux porter ta culotte de règles tout au long de ta journée de cours car elle offre jusqu’à 12 heures de protection. 

Inutile donc, quand on est une jeune fille, de prévoir des tampons ou des serviettes de rechange dans ton sac (sa capacité d’absorption équivaut à deux tampons) ! Tu la portes la journée et tu la quittes le soir.

Les culottes menstruelles spécialement conçues pour les premières règles :

Grâce à elle, tu continues à faire ce qu’il te plait !

Si notre culotte est tant plébiscitée par les jeunes filles comme toi, ce n’est pas pour rien ! Elle sait se faire oublier et te permet de continuer à faire ce qui compte pour toi ! Aller à l’école, bien sûr même si ce n’est pas toujours cool, mais aussi sortir avec tes amis ou aller au sport. La culotte menstruelle Teen est efficace dans toutes les activités et les positions (que tu sois assise, debout ou allongée).

En elle, cours, amuse-toi, rigole… en un mot : continue à vivre comme tu l’entends !

culottes menstruelles adolescentes

En plus, elle s’entretient facilement et est éco-responsable.

Ta journée est presque terminée ? Après avoir enlevé ta culotte, il suffit de la rincer à l’eau froide. Ensuite, direction la machine dans un sac de lavage avec le reste de ton linge à 30°C. Un peu de lessive suffit !

Tu souhaites remettre ta culotte rapidement ? Dans ce cas, tu peux la laver à la main à l’eau froide et du savon doux ! Elle sèche rapidement. Sache toutefois que nous te conseillons de la passer dans la machine à laver au moins une fois par cycle !

Tu apprécieras aussi ta culotte de règles pour ses qualités éco responsables et écologiques. Nous n’utilisons pour sa conception aucun produit chimique. En plus, en la choisissant tu fais un beau geste pour la planète Terre en évitant que des centaines de tampons et de serviettes ne se retrouvent dans la nature !

Et pour finir, elle est vraiment jolie 💕

Notre dernier argument et non des moindres : elle est super belle ! Quoi de mieux pour te sentir bien dans ta tête et dans ton corps que de porter un vêtement qui soit à la fois confortable, pratique, efficace et esthétique ? La culotte Teen est aujourd’hui déclinée en deux coloris : en noir (sobre et passe-partout) et corail (pour mettre un peu de couleur dans ta vie !). Le petit détail que l’on adore ? Le liseré doré de son élastique ! Chez Herloop, on en est sûre : tu vas en faire des envieuses !

Avec cet article, tu l’auras compris : quand on est une ado de 12, 13 ou 14 ans, pas la peine de se prendre la tête à utiliser des tampons ou des serviettes hygiénique car il existe désormais une solution beaucoup plus simple : la culotte de règles Teen par Herloop !

Ce texte t’a plu et tu veux en savoir davantage sur tes premières règles ? Lis notre article consacré à ce sujet !